1. Et j'entends siffler le train...


    Datte: 22/01/2021, Catégories: train, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation

    ... accepter ! Mais je crois aussi que tu fais ce que tu veux. Non ?— …Salaud, vous croyez trop de choses et trop bien… Tant pis pour vous ! Sans un mot de plus elle raccrocha et prit sa valise. Un moment, Michel eut peur qu’elle ne parte et faillit sortir de sa cachette pour la rejoindre d’un bond. En fait, si Julie s’était saisie de la poignée télescopique, c’était pour la baisser, doucement, offrant aux chanceux qui se trouvaient derrière elle une jolie vue sur son postérieur. Mais le meilleur était à venir. Elle s’assit comme demandé sur sa valise et croisa les jambes habilement pour que le pan de la jupe portefeuille révèle la lisière de ses bas. Elle faisait face à la terrasse de la cafétéria. Le spectacle était charmant. Et comme si elle ne trouvait pas cela assez aguicheur, elle ôta sa chemise et la posa à côté d’elle. Elle semblait presque poser pour un photographe. Enfin, après un petit moment, elle se pencha pour enlever sa chaussure et commença à se masser le pied, comme s’il lui faisait mal. Plus qu’une allumeuse elle frôlait la pyromanie. Michel la voyait de trois-quarts et déjà le spectacle était très excitant, mais il imaginait sans peine celui offert aux clients de la terrasse. Ils devaient à la fois avoir une vue plongeante sur son décolleté et sur ses cuisses. De fait, une certaine agitation était visible parmi les clients mâles. Julie, toujours en train de se masser le pied, les regardait se tortiller sur leurs chaises au travers de ses lunettes de soleil, ...
    ... qu’elle avait remis sur les yeux. Si jamais une de ses bretelles glissait, on pouvait craindre un viol collectif avant le départ du premier TGV pour Paris ! Sans attendre cela, Michel la rejoignit. Au moment où elle le voyait s’approcher, un très bel homme d’une cinquantaine d’années, très business-class, s’était levé pour venir dans sa direction. Michel le devança largement et l’homme d’affaires bifurqua élégamment. — Bonjour !— Bonjour ! Julie remis sa chaussure mais ne se leva pas. — C’est beaucoup plus que ce que j’avais demandé.— On n’a pas toujours ce qu’on veut ! Elle était ravie de sa réaction. — Tu aimes vraiment ça, hein, t’exhiber ? dit-il un peu trop méchamment à son propre goût.— Je ne sais pas ! C’était trop court… Vous devriez retourner vous cacher… Je suis sûre que je vais faire des rencontres si je reste assise seule ici !— Ça ne fait aucun doute… Ils ne te quittent pas des yeux.— … Il jeta un coup d’œil sur la terrasse, s’écartant d’un pas pour ne plus cacher Julie à ses admirateurs, mais leur tournant toujours le dos. Julie, toujours assise sur sa petite valise (petite mais solide finalement), avait le visage à la hauteur de son sexe, ce qui lui permettait d’apprécier l’effet qu’elle avait produit sur son amant. — Ça vous plaît à vous aussi, dirait-on !— Oui, j’avoue, tu me fais bander, ça m’excite de te voir les allumer. Pas toi ? Il pouvait tout lui avouer, rien n’était tabou entre eux. Il le sentait. — … Moi aussi un peu… assez même, je crois.— Tu sais que ...
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