1. Et j'entends siffler le train...


    Datte: 22/01/2021, Catégories: train, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation

    ... d’ici j’ai une vue plongeante sur ton décolleté ?— Vous n’êtes pas le premier… mais c’est votre faute, il ne fallait pas me provoquer !— Je sais, ces messieurs auraient d’ailleurs également une vue plongeante entre tes cuisses, si tu décroisais tes jambes…— Oui… je sais j’y ai pensé aussi…— Tu as envie de le faire ?— Je ne sais pas. Et vous ? Vous avez envie que je le fasse ?— Je ne sais pas. Tu as une culotte, au moins ?— Pervers ! dit-elle en souriant— Allumeuse ! dit-il en lui caressant la joue.— Obsédé ? En guise de réponse, Michel contracta sa verge tendue qui fit un petit bond visible sous le pantalon — Sans doute un peu. Salope ?— Sans doute un peu ! Julie décroisa les jambes. Elle ne les avait pas vraiment écartées, bien sûr, mais elles n’étaient pas jointes non plus. Michel imaginait qu’une tache blanche ou de couleur devait d’ailleurs être visible pour certains des hommes en terrasse. Michel bandait tellement maintenant qu’il aurait aimé qu’elle l’embouchât tout de suite, sur sa petite valise (petite mais pas si solide !) Mais ce n’était pas possible… Ils se regardèrent sans un mot. Au bout de quelques lourds battements de cœurs, Julie jugea que ça suffisait et se leva. Ils devaient poinçonner leurs tickets, faute de mieux pour l’instant… En marchant sur le quai à la recherche de leur voiture, Michel la prit par la taille. Sa main ne put s’empêcher de descendre sur ses fesses. Il voyait ses seins remplir le bustier et danser au rythme de ses hanches. Elle voyait la ...
    ... bosse dans son pantalon. Sa main montait et descendait doucement le long de la jupe suivant le sillon qui séparait ses fesses. Elle aussi lui mit la main au cul ! Elle savoura leurs caresses en silence. Elle était fière du tour qu’elle lui avait joué. Elle était aussi très excitée. Sans bien comprendre pourquoi, cet homme la faisait craquer… Quand il venait avec son épouse chez ses parents, elle ne pouvait rien faire. Alors, elle l’avait taquiné jusqu’à ce qu’Annie la regarde de manière explicite : celui-là m’appartient ! L’autre soir, elle avait saisi sa chance et depuis elle se consumait. Jamais elle n’avait joui de cette manière et elle n’arrivait pas à s’ôter ce souvenir de la tête. Il n’était pas très beau, pas très riche, il avait un sexe normal, mais il aurait pu lui demander de faire le poirier sur le quai, elle l’aurait fait. Il était assez attentionné pour qu’elle se laisse aller, assez sensible pour sentir ce qu’elle aimait et assez directif pour qu’elle se sente en sécurité… Mais c’était aussi plus que ça, presque chimique… L’amour peut-être… pas sûr ! Toujours est-il qu’en sa présence sa température montait de quelques degrés ! Elle s’était caressée souvent depuis cette soirée. Presque tous les jours, à vrai dire, et toujours en pensant à lui. Son copain lui avait paru incolore avec son mètre quatre-vingts et ses muscles partout. Il ne savait que la pénétrer pendant des heures, tout fier de son endurance. Au bout du compte, quand la lassitude, voire l’irritation, ...