Ma collègue joueuse
Datte: 22/01/2021,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Je dois vous l’avouer, j’ai toujours été voyeur. J’aime les femmes, toutes les femmes, leurs formes, leur silhouette, leur allure. Leurs vêtements me troublent, leur lingerie me rend fou, leurs maillots de bain me chamboulent. Sans doute sans le savoir, elles m’offrent chaque jour de grands moments de plaisir. Lorsque j’aperçois le galbe d’une poitrine dans un décolleté généreux, que je surprends le coton blanc d’une culotte sous une jupe trop courte… Malheureusement, le plus souvent, ce plaisir est à sens unique. Même si leur comportement prouve parfois qu’elles cherchent à être remarquées, lorsqu’elles surprennent un homme pendu à leur décolleté, la plupart des femmes se sentent agressées. Les voyeurs sont mal vus, ce sont « des pervers pitoyables et vulgaires » qui violent leur intimité. Pourtant la mode exhibe les strings, les piercings aux nombrils… Mais passons ! Je cache depuis toujours ce plaisir que je prends avec les yeux. Car rares sont celles qui apprécient ces regards… À vrai dire, Sylvie est la seule exception que j’ai rencontrée. Elle est arrivée dans mon bureau comme une fleur au mois mai. Personne n’avait vraiment fait attention à cette petite brunette discrète, un peu rondelette, débarquée dans le petit box ouvert face au mien. Notre bureau était si grand que bien souvent des consultants apparaissaient et disparaissaient sans-même qu’on ne les remarque. Mais moi, à peine installé, en ce lundi matin, je ne voyais déjà plus qu’elle. Elle était placée ...
... précisément dans l’alignement de mon écran d’ordinateur et rien ne lui permettait de distinguer si mon regard se portait sur mes bases de données ou sur le ravissant petit décolleté de son chemisier blanc. Je pouvais l’observer! Elle avait les yeux noisettes, un visage très doux, un petit nez retroussé, des cheveux très bruns qui contrastaient avec sa peau très blanche. Son décolleté était assez modeste, mais sa peau semblait délicieuse. Elle se tourna plusieurs fois de profil, et je pus apercevoir la délicate dentelle blanche du bonnet de son soutien-gorge, par un pli de son chemisier, entre les deux boutons fermés sur sa poitrine. Son pantalon bleu paraissait fin et laissait deviner un petit string, à chacun de ses pas, lorsqu’elle se déplaçait dans le bureau. Du petit triangle au-dessus de ses fesses aux minces liens de tissu sur ses hanches, rien ne m’échappait. Elle dégageait un discret érotisme que j’étais sans doute le seul à percevoir. Son pantalon était bien moulant et dévoilait des cuisses dodues mais bien proportionnées, des fesses bien rebondies et une taille plutôt fine. Quel bonheur des yeux ! Mes collègues masculins aux alentours étaient plutôt intéressés par les grandes blondes pulpeuses du bureau, qu’ils courtisaient sans retenue à longueur de pause-café. Et personne d’autre que moi ne semblait s’intéresser à ma nouvelle voisine, pourtant très mignonne… En fin de matinée, je dus oublier un instant ma timidité pour lui demander de se joindre aux habitués du café de ...