1. Ma collègue joueuse


    Datte: 22/01/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte,

    ... seins. Elle semblait de plus en plus sexy ! Le printemps avançait, les températures augmentaient et Sylvie revêtait ses habits d’été. Elle portait un débardeur blanc dont les fines bretelles se mêlaient à celles de son soutien-gorge blanc, et glissaient parfois le long de ses épaules dénudées. Elle était mon délice secret… Plus tard dans la journée, poussée par un croisement de jambes maladroit, sa jupe remonta et dévoila encore un peu plus sa cuisse. Le souffle coupé, je découvris presque entièrement ses jambes. Ces cuisses étaient adorables. Elles n’avaient pas d’angle dur, ni de muscles trop apparents, elles étaient rondes, appétissantes. Leur peau était blanche, tendre, fraîche, parfaitement lisse. Sylvie était sincèrement "à croquer !". J’imaginais sentir sa peau sous mes mains, sous mes baisers. Je rêvais de la tendresse de ses jambes. Par moment, elle balançait délicatement sa jambe, un peu nerveusement sans doute. C’était terriblement excitant, et je ne pouvais détourner les yeux du spectacle qu’elle m’offrait sans le savoir. J’étais en transe, face aux splendeurs de son corps. Le soir, quand Sylvie partit, elle me lança un petit sourire, amusé, voire moqueur, et me souhaita une bonne soirée. Je la remercia en bafouillant… C’était si étrange. Elle n’avait salué personne de la journée, et en partant, bien qu’elle eut croisé d’autres collègues, elle n’adressa une « bonne soirée » qu’à moi. Et ce sourire… Avait-elle remarqué quelque chose ? Avait-elle surpris mes ...
    ... regards indiscrets ? Avait-elle deviné le trouble qu’elle provoquait en moi ? C’était tout à fait possible : l’euphorie de ses spectacles me rendait sûrement imprudent ! Je me sentis si mal que je me promis de rester sage et ne plus regarder que mon écran. Je passai la soirée à me poser des questions. J’étais persuadé que la ravissante Sylvie me considérerait maintenant comme le petit voyeur du bureau. Je m’endormis finalement en espérant, sans trop y croire, qu’elle n’avait souri que par politesse envers son plus proche voisin de bureau… Le mercredi matin, j’eus droit au même sourire que la veille, accompagné d’un : "Bonjour Nicolas". Je bafouillai à nouveau un timide : "Bonjour Sylvie". Les idées se bousculaient dans ma tête, et je ne savais toujours pas quoi penser. Elle n’avait salué aucun des mes nombreux collègues. Je décidai encore de mettre ce favoritisme sur le compte de notre proximité géographique… Elle portait une robe bleue, serrée, stretch, fine et légère, qui lui arrivait à mi-cuisse. Un soutien-gorge, apparemment sans bretelle, lui serrait la poitrine. J’aurais voulu chercher le dessin de ses dessous à travers le coton, vérifier la présence de son bracelet à la cheville, et surtout, caresser du regard ses jambes presque totalement dénudées… cela me frustrait au plus haut point, mais je n’osais plus la regarder. Je me demandais même si elle ne me tendait pas un piège, afin de me prendre en flagrant délit. Pourquoi l’aurait-elle fait ? C’était stupide, mais j’étais ...
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