1. Ma collègue joueuse


    Datte: 22/01/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte,

    ... pétrifié. En milieu de matinée, presque malgré moi, comme un réflexe, je me suis penché doucement, un très court instant, pour apercevoir ses jambes. En un quart de seconde, je vis qu’elle portait encore son bracelet si sexy… elle avait aussi des chaussures ouvertes, avec un petit talon et des lanières de cuir qui entrelaçaient sa cheville. Je ne pus m’empêcher encore une fois de me pencher, pour confirmer ce que j’avais cru voir : lorsqu’elle était assise, les jambes croisées, de mon point de vue imprenable, je pouvais admirer ses cuisses… En me baissant encore un peu, je pourrais même presque entrapercevoir sa culotte… Mais… Attention !!! Oups !!! Ça y est !!! Sylvie m’a vu !!! Elle m’a eu en flagrant délit. Nos regards se sont croisés. J’ai rapidement détourné les yeux, je me suis replongé dans mon écran, mais je sais que c’est trop tard. Elle ne peut plus douter. Elle sait. Elle a percé mon secret, découvert mon vice, compris mes manigances. Je sens mes oreilles chauffer, je dois être rouge pivoine ! J’ai le cœur qui s’accélère. Je me sens mal. J’ai envie de quitter le bureau en courant. Que va-t-elle faire ? Se moquer de moi ? Me faire des remontrances ? Me faire la morale ? Faire un scandale ? Me mettre une baffe ? Changer de bureau ? Inquiet, je jette un oeil furtif par-dessus mon écran. Elle sourit. Elle sourit ?! Elle fixe son écran, mais semble s’amuser, elle rit presque ! Je comprends ! Elle se moque de moi ! Je ne sais plus où me mettre. Elle m’a démasqué ...
    ... alors que je tentais de mater sa culotte ! Quelle honte ! Je suis pitoyable. La charmante, l’envoûtante Sylvie qui me plait tant, sait maintenant que je suis un voyeur. Petit à petit, je tente de me rassurer. Cela aurait pu être pire. Se moquer de moi, c’est une bonne réaction finalement. C’est mieux que la colère. Et soudain, je réalise qu’elle n’a absolument bougé. Elle sait pourtant qu’elle est dans ma ligne de mire, que je suis voyeur, qu’elle est vulnérable et que, dans cette position, elle ne peut se cacher. Elle n’a même pas cherché à tirer sur sa robe… elle reste là, les yeux dans son écran, sans bouger, avec sa robe toujours légèrement retroussée sur ses cuisses, et ces petits sourires énigmatiques. Elle n’est pas indignée, et ne paraît pas non plus mal à l’aise. Finalement, cela ne semble pas lui avoir déplu ! Quelle serait sa réaction si elle me surprenait à nouveau les yeux égarés sur ses jambes ? Et si j’osais… ? Peut-être Sylvie aime-t-elle se sentir la proie de mes regards ? Mais si son sourire était aussi une forme d’avertissement ? Si je recommence, je pourrais bien avoir droit au sort auquel j’ai échappé la première fois ! J’ai peur. J’hésite. Mais elle sourit toujours ! Je ne tiens plus. Toutes ces questions finissent par m’empêcher de réfléchir. Je veux encore une fois la regarder. Je serais trop bête de ne pas le faire ! Son corps est si beau ! Ses pieds, ses chevilles, ses mollets, ses genoux, ses cuisses. Je craque, je me penche… Je m’aperçois qu’elle a ...
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