Les voisins de M - Histoires de Sexe

Les voisins de M

... puis la moule. Laissant tout au long de son sillon une abondante traînée de salive. Je la contournai puis, lui léchant le ventre, du nombril jusqu’au sexe, je repris ses fesses, les écartai à nouveau. Je lui mis un doigt dans sa chatte, déjà ruisselante, pour le charger de foutre lubrifiant et lui enfonçai dans sa petite rondelle tout en lui aspirant son clitoris rose tout érigé. Il était environ deux heures lorsque nos deux femmes se sont rendu certaines politesses. Uniquement, pour notre plus grand plaisir, et le leur, surtout. Pas un centimètre carré de leurs corps n’avait été oublié… Elles étaient comme au sortir de la salle de bain, enfin presque. La soirée arriva à son terme, nous nous promîmes le match retour. Revenus dans notre chalet, M me sauta au cou, m’embrassant comme une morte de faim. Reprenant sa respiration, elle me demanda si j’avais aimé, si Véro me plaisait, si j’avais trouvé J-L sympa, si j’avais bien joui, si je l’avais regardée se faire prendre et jouir. Les questions n’en finissaient pas. Nous nous mîmes au lit, sans même prendre de douche, elle reprit son interrogatoire. As-tu aimé le goût de sa chatte ? Elle suce bien ? C’est bon de la baiser ? Et, pour finir elle me remercia d’avoir accepté de la regarder. Je l’embrassai et lui fit l’amour au milieu du mélange de son foutre et du sperme de J-L. Je jouis bien au fond de son puits… — C’est bon de vous sentir tout les deux au fond de ma chatte et de vous écouler le long de mes jambes, me dit-elle ...

... juste avant de s’endormir. Je l’embrassai tendrement et m’écroulai, épuisé. La semaine suivante le match retour eut lieu. Une variante seulement, nous nous sommes un peu mélangés, les femmes n’ayant pas refusé la proposition de double pénétration. Nos deux bites accolées dans le vagin, à tour de rôle, de nos conjointes… Hum… Et, pour terminer en beauté, J-L décida de faire l’amour à Véro. Lui, assis sur une chaise, elle à cheval face à lui. Lorsqu’il l’eut pénétrée, il me fit signe de venir les rejoindre, lui écartant les fesses me priant, ainsi, de bien vouloir la sodomiser. M s’approcha de moi, me prit dans sa bouche, m’enduisit copieusement la bite de salive et me poussa vers la rondelle de son amie. Je m’exécutai volontiers. À travers la fine paroi, je sentis la bite de J-L. Il ne bougeait pas, me laissant agir dans le cul de sa belle. La jouissance fut triple, en même temps que j’éjaculai dans l’anus, il s’épancha dans la chatte. Nous ressentions les contractions du plaisir de Vé… M l’embrassant à pleine bouche finit par nous dire : — Et moi ? Elle eut droit au même service, un petit moment plus tard après nous être réhydratés et avoir récupéré un peu de vigueur. C’est à partir de ce soir-là qu’une grande amitié, (doublée d’une énorme complicité), a vu le jour entre nous quatre. Nous nous organisions quelques soirées « spéciales » et, certaines fois, même pas nécessaire de préparation. Chaque occasion de nous retrouver était un bonheur. Le nombre d’heures passées à discuter ...