1. Les voisins de M


    Datte: 22/01/2021, Catégories: fh, ff, 2couples, hplusag, couplus, cocus, inconnu, voisins, hépilé, fépilée, amour, vengeance, contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral 69, pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, échange, init, totalsexe, entrecoup,

    Résumé de l’épisode précédent. Suite à notre rencontre M et moi avons engagé une relation chaude, très chaude. Je découvrais une femme totalement libérée sexuellement et amoureuse de moi. Cependant, mes obligations professionnelles et familiales ont fait s’assombrir notre ciel… qui s’est dégagé après un petit câlin sur l’oreiller et certains engagements de ma part. Mais bientôt, des soucis importants dans mon travail vinrent enrayer la machine passablement, de nouveaux clients à visiter, la secrétaire qui tomba malade. Enfin tout, quoi ! Et, bien sûr, c’est notre vie privée et surtout M qui firent les frais de ces problèmes. Elle savait de quoi il retournait, elle comprenait, mais ma présence se faisait de plus en plus rare. Je savais que les Vreillet tentaient, déjà depuis un certain temps, de déstabiliser ma Petite. Cela n’arrangeait en rien nos affaires de cœur. Les Vreillet jouaient sur deux tableaux. Bernard, ce bon Bernard, lui laissait entendre que, peut-être, je serais un « coureur de jupons ». Sa femme, quant à elle tablait sur des « Tu crois qu’il te mariera un jour ? Moi j’en suis pas certaine, non ». Un jeudi soir, qui n’était pas prévu au programme, j’ai pu me libérer pas trop tard. Il devait être dans les dix heures. J’arrivai au chalet, « le cœur en joie et la fleur à la boutonnière », tout était éteint. Pensant que M s’était mise au lit, je frappai à la porte. Pas de réponse. Je toquai un peu plus fort, toujours pas de bruit à l’intérieur. Je pris ma clé, ...
    ... j’entrai dans la maison à pas de loup, pour ne pas la réveiller, dans le noir, je me dirigeai vers la chambre. La porte était grande ouverte mais « M » n’était pas au lit. J’allumai la lumière du salon et une cigarette. Où était-elle passée ? C’était le grand calme dans le lotissement, de toute façon en pleine semaine, il n’y avait pas de fiesta. Je me laissai tomber dans le canapé. Au bout de cinq minutes, elle arriva, j’entendis ses pas sur les lattes en bois du perron. — Ah, mon cœur, tu es là… mais, c’était pas prévu… Enfin, je suis contente.— Tu étais où ?— Attends, je vais t’expliquer. Fais-moi un bisou, d’abord. Elle m’embrasse tendrement puis s’assied à côté de moi. — Alors, où étais-tu ?— En face, chez les creusois enfin, Jean-Louis et Véronique. On a sympathisé depuis la semaine dernière.— Tu ne m’en avais pas parlé, au téléphone.— Je n’y avais pas pensé… c’est pas grave… enfin… Et là, elle commence à m’expliquer qu’avant-hier, ils l’avaient invitée à passer la soirée avec eux. Qu’ils avaient regardé la télé ensemble jusque tard. Puis qu’ils avaient discuté un bon moment, plaisantant, racontant des histoires un peu grivoises. Hier soir, Véronique était venue la chercher pour, de nouveau, faire passer le temps. Ils ont bu un café, plaisanté, Jean-Louis a commencé à raconter des histoires portant un peu plus sur le « cul ». Ils étaient assis dans le canapé, face à la télé, M entre les deux creusois. D’histoire en histoire l’atmosphère s’était bien détendue… Profitant ...
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