1. Huis clos : la renaissance de Laure


    Datte: 25/10/2017, Catégories: fh, amour, volupté, Masturbation intermast, Oral jeu, init, ecriv_c,

    Jean-Pierre, consultant en déplacement, tombe amoureux d’Ingrid, Laure de son vrai prénom, une escort-girl occasionnelle qu’on lui a fait rencontrer comme un « cadeau ». Resté sur sa faim et plein d’espoir, cherchant à la revoir, il participe à une soirée mondaine en compagnie de Clara, une amie et collègue d’Ingrid. Clara, en fait bisexuelle, lui apprend qu’Ingrid est homo… et attire Jean-Pierre chez elle, en laissant son amie dans les mains de son « client », un invité de la soirée. Le lendemain matin, il rentre à son hôtel et trouve Ingrid dans sa chambre, endormie. Ingrid est là, dans ma chambre… et elle dort ! Que fait-elle ici depuis une heure ? J’allais la secouer. Mais non. Je la détaille à mon aise, calmement. Un visage d’ange avec encore quelques paillettes dorées sur les joues. Ainsi, elle est homo ! J’ai du mal à le croire. Et moi qui en pince pour elle ! « Catastrophe ! Pensé-je, il va falloir se défaire de cette idée ! » J’ai mal. Je tombe amoureux… et bing ! Ce « problème » ! Mais bon… j’ai Clara en « lot de consolation », et quel lot ! Il n’empêche… Je sens qu’Ingrid est bien là, accrochée quelque part dans mon cœur. Je devrais avoir un refus, passer à autre chose. Rien à faire. Je ne peux m’y résoudre, et la voir là, abandonnée… Doucement, je la remue. Elle bouge, ouvre les yeux, affiche un pâle sourire. — Jean-Pierre ! Souffle-t-elle, excuse-moi, je suis venue me cacher…— Quoi ! Mais comment ça, te cacher ?— Ça c’est mal passé… au consulat, avec le type ...
    ... que tu as vu.— Ah !— Il n’y avait plus personne… j’ai voulu partir, il m’a attirée dans un bureau, et il a voulu me forcer. J’ai eu très peur, il était comme fou, il m’a peloté avec ses grosses mains… ah ! Quelle horreur ! Quel salaud ! Elle sanglote et son corps est parcouru de frissons. — Oh ! Là ! Et comment tu t’en es sortie ?— Je sais pas… attends, il a sorti son engin, il voulait que je le suce ! Il m’a attrapé par les cheveux ! Alors je l’ai tapé, de toutes mes forces, un coup de genou, il a hurlé… je suis partie en courant.— Eh ben ! Un coup de genou ! Mais tu es rentrée bien tard !— Oui, une heure que je suis là… je suis venue à pied. Pas voulu attendre le voiturier, ma voiture est encore là-bas, je suis crevée, énervée… En pleurs, maintenant, avec des convulsions, assise et calée par un oreiller. Je ne sais comment la consoler. Je lui prends la main, la serre. Elle me regarde, les yeux humides et maculés par son maquillage. Triste tableau. Loin de l’Ingrid sûre d’elle que je connais. — Tu veux bien, dis ! Tu veux bien que je reste là aujourd’hui ? J’ai peur de rentrer chez moi… me demande-t-elle le regard suppliant.— Oui ! Bien sûr, pas de problème… et si tu prenais une douche, te lavais de tout ça ? Elle sourit. — Tu as raison… Ah ! Je n’ai rien pour me changer ! T’aurais une chemise, un t-shirt à me prêter ? Et il faut que tu m’aides à me déshabiller, j’ai mal partout… Je l’aide à se lever et immédiatement elle se plaque contre moi, ses bras autour de ma taille — ...
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