1. Huis clos : la renaissance de Laure


    Datte: 25/10/2017, Catégories: fh, amour, volupté, Masturbation intermast, Oral jeu, init, ecriv_c,

    ... Pour l’heure, une douche à deux, je ne vais pas refuser… Que les dieux me pardonnent ! L’endroit est exigu, ça va être périlleux ! Ingrid est la première à rentrer et elle m’accueille en riant : « Allez, viens… on va se serrer ! » De fait, nous voilà l’un contre l’autre, peau contre peau, impossible autrement. En érection, je ne sais comment me placer… inévitablement mon sexe « gêne » en quelque sorte. Je feins de m’excuser : « Ingrid… désolé, mais, voilà… » Mais elle rit, et m’attire dans ses bras. L’eau coule maintenant, nous enveloppant de chaleur et de buée. Face à face, mon pénis écrasé sur son ventre, je tente de l’embrasser. Lèvres serrées d’abord, elle accepte enfin, puis soudain elle m’envahit la bouche de sa langue : un baiser sauvage, éperdu. Sa main me cherche, elle creuse son ventre pour être plus à l’aise et elle commence à me masturber, doucement. C’est divin, sentir sa main délicate et maladroite… Lâchant une seconde mes lèvres, elle murmure : — C’est bien comme ça…? Tu aimes ?— Oui… continue, tu veux… que je te caresse ? Elle gémit, se tortille un peu. — Essaie, oui, j’ai envie, ça m’excite… Mes doigts progressent de ses seins à sa taille, la hanche, le haut de la cuisse puis cherchent son minou. Elle sursaute, gémit encore, se dérobe, puis son bassin bascule à la rencontre de ma main. — Doucement, doucement, je te dirai… halète-t-elle. Soudain, je sens venir ma libération. « Ingrid, je vais partir… » Éructé-je Elle se colle à moi, sa main me pétrit plus ...
    ... qu’elle ne caresse… et j’éjacule dans ses doigts et contre nos ventres, pendant que sa bouche me mord sauvagement. A présent, elle a la tête en arrière, les yeux clos, dégoulinante sous le jet d’eau, ses cheveux plaqués, la bouche ouverte. Saisissant ma main qui la caresse, c’est elle maintenant qui imprime le mouvement. C’est impressionnant, elle se donne du plaisir elle-même avec mes doigts, violemment, sans retenue ! Tous ses muscles semblent tétanisés et je sens, malgré la douche, que sa chatte mouille abondamment. C’est délicieux, sauvage. Un petit cri sort de ses lèvres, un autre suit, une série de grandes expirations bruyantes et brutalement, elle hurle sa jouissance à pleins poumons, se cambrant, son autre main me griffant le dos ! Défaillante, les jambes tremblantes, elle se blottit contre moi pour que je la soutienne. « Bon Dieu ! Pensé-je, Clara avait raison… une bête ! » Ses yeux s’ouvrent, elle me sourit, caresse ma joue. — Merci, Jean-Pierre… ça été merveilleux, et moi, je n’ai pas été trop nulle ? La berçant dans mes bras, jouant avec cette eau qui nous inonde, heureux de ce moment intime, je murmure : — Tout va bien, tout va bien… mais dis donc, toi aussi, quel tempérament tu as ! Je comprends trop tard l’impair… le « toi aussi », involontaire et surtout inutile ! Elle me repousse comme elle peut, feignant la colère. — Salaud ! Comment « moi aussi » ? Ah ! C’est cette cochonne de Clara dont tu parles… Ah ! Si je pouvais être comme elle avec les hommes ! Elle me ...
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