1. Mes cousines... et moi ! (1)


    Datte: 24/01/2021, Catégories: h, fffh, jeunes, Inceste / Tabou vacances, bain, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation intermast, jeu, init,

    ... tendirent : — Tu penseras à nous ! Elles ne croyaient pas si bien dire. Reniflant ces trois culottes, je me suis payé le soir même une masturbation mémorable. Nous fûmes récompensés de notre cueillette par une bonne tarte aux pommes. * * * * * Aujourd’hui, c’est la fête au village. Nous avons décidé d’y aller tous les quatre, aussi nous voilà en train de nous préparer. Nus bien sûr, tous dans la salle de bains, nous nous chamaillons mais rapidement je cède la place aux filles pour aller m’habiller. Les voilà qui arrivent, ouvrent les armoires et choisissent chacune une petite robe à bretelle, décolletée et surtout courte. J’adore, lorsqu’on est entre nous, les voir habillées ainsi car, si peu qu’elles se baissent, qu’elles sautent ou qu’elles bougent, je peux voir leurs petites culottes faites de dentelles souvent presque transparentes. Et là, surprise ! Les voilà qui enfilent leurs robes sans aucun sous-vêtement, ni culotte, ni soutien-gorge ! — On y va ? me dirent-elles.— Vous n’allez pas sortir comme ça ? m’offusquai-je.— Ça ne te plait plus ? On croyait que tu aimais ça… J’aimais ça, en effet, mais entre nous. — Mais tout le monde va remarquer que vous êtes nues sous vos robes ! poursuivis-je.— Et alors ? conclurent-elles, se dirigeant vers la sortie. Que faire ? Elles avaient décidé ensemble et rien ne les ferait changer ...
    ... d’avis. En plus les parents étaient absents tout le week-end. Je me résolus donc à les suivre. Elles couraient, sautaient devant moi, faisant voler leurs robes qui dévoilaient leurs trésors dont je pensais avoir l’exclusivité. Mais nous étions sur le chemin où il n’y avait personne et je pensais bien qu’elles agissaient ainsi pour m’agacer et, qu’une fois arrivées à la fête, elles se calmeraient. Il n’en fut rien. Elles grimpèrent sur tous les toboggans, descendant sur les fesses, utilisant les balançoires debout, leurs robes volant de toute part, me demandant de les pousser. Je le faisais avec plaisir, profitant de la vue dont je ne me lasserais jamais, mais surveillant si des voyeurs ne se manifestaient pas. Amusées par ma vigilance elles me dirent : — Tu es jaloux cousin ? Pourquoi serais-tu seul à en profiter ? Mais mes craintes s’avérèrent inutiles ; je ne vis personne regarder sous les robes de mes cousines. Pourtant, quel spectacle, leurs pubis noirs sur une peau blanche se voyaient même lorsque leurs robes étaient en position normale, par simple transparence. Et leurs tétons dressés par l’excitation du jeu, pointaient sous le tissu léger. Le jeu les lassa très vite et de retour à la maison nous courûmes calmer nos excitations respectives à la rivière où je savais que me serait réservé un traitement auquel je m’habituais. 
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