Plaisirs troubles - 4/5
Datte: 25/10/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
... la couette … — Tout le samedi ? — Peut-être aussi le dimanche ! Que tu me déshabilles tout doucement pour caresser mes seins et mon ventre, mes fesses aussi, j’aime bien, et j’aimerai même que tu fasses ça maintenant … — Et toi ? Tu ferais quoi ? — Eh ! C’est moi qui ai dit prem’ ! Toi … après ! — Christelle … je … j’ai jamais fait ça … — Mais d’abord, je vais faire pipi ! Elle a planté un baiser sur mes lèvres en se redressant et elle m’a laissée toute seule dans son grand lit et le noir de la chambre. **Christelle, leur première nuit …** Je peux l’avouer, je n’étais pas sûre de la retrouver dans le lit en revenant. Et l’idée qu’elle s’en aille me tordait le ventre. J’ai l’air comme ça … la réputation aussi ? mais en fait je suis une inquiète. Une angoissée. Depuis la soirée du mercredi, je pensais sans arrêt à elle. Sans arrêt. Et pourtant il ne s’était rien passé entre nous. Presque rien ! Elle n’avait pas bougé quand je suis revenue. Je suis restée debout à côté du lit sans bouger et elle a fini par s’asseoir au bord du lit. J’attendais. Elle s’est levée. Je la voyais à peine. J’avais laissé la porte de la chambre ouverte et la seule lumière venait du couloir. A quoi je m’attendais ? Je ne savais même pas si elle serait toujours là ou si elle se serait enfuie ! Elle a pris mes joues entre ses mains, qu’est-ce qu’elle tremblait ! Et ce baiser ! Waouh ! Elle m’a déshabillée. Mon gros pull, mon tshirt, mon soutien-gorge, mon pantalon et mon slip, mes chaussettes. Tout ça ...
... sans me toucher vraiment, à peine si elle a effleuré ma peau et dégrafant le soutien-gorge et en étirant mon slip pour me l’enlever. Elle était dans mon dos. Je sentais son souffle sur mes épaules. Elle a pris mes mains dans les siennes pour écarter mes bras et c’est là que tout a commencé. Ses baisers partout sur mon dos en caressant mes seins, sur mes fesses quand elle s’est agenouillée derrière moi, une main sur mon ventre et l’autre entre mes jambes, toutes légères et curieuses en même temps … Elle prenait tout son temps ! Une torture et un délice ! Je vous dis pas dans quel état j’étais ! Elle ne tremblait plus, moi si ! **Patricia, les yeux brillants …** La chambre était presque plongée dans le noir, juste éclairée de la lumière du couloir. Sans ça, je ne sais pas si j’aurais osé. Elle avait compris que je ne ferai rien de moi-même ? Qu'il fallait qu'elle décide pour moi ? Sans doute. C'est tout ce que je voulais. Que ce soit sa volonté. Je voulais tellement lui plaire ! Jamais je n’avais caressé une fille. Je vous l'ai déjà dit. Des bêtises quand on était ados avec Babou, mais on ne se touchait pas, jamais. Des bêtises. La douceur de sa peau, son parfum, son odeur, ses frissons, ses soupirs. Au début je l’effleurais à peine, exprès, je me retenais. Je sentais sa chaleur, le parfum de son sexe, et j’étais dans le même état qu’elle, mais je retenais mes gestes. Je sentais mon sang battre, mes tétons se tendre, mes lèvres toutes chaudes et gonflées. Je l’ai repoussée sur le ...