1. Banquière perverse (30)


    Datte: 26/01/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    Un an vient de s’écouler. Après la «Générale »de notre spectacle érotico-pornographique, les demandes s’enchaînèrent à un rythme suffisant pour nous permettre de vivre confortablement. Nous avions tous les trois faits un pacte sur le partage des gains engendrés par nos spectacles, les bénéfices étaient divisés en trois parts égales. Les revenus extérieurs comme la photo pour moi, et un emploi d’esthéticienne pour Gladice dans le salon où travaille Sophie. Gladice s’était brutalement vouée de passion pour ce métier d’esthéticienne et suivit ardemment une formation qui l’emmena rapidement au diplôme et à un emploi dans le salon d’Anne. Jelila gérait nos comptes et se félicitait de notre réussite ; elle était ravie d’avoir sauvé troispauvres bougres, en parlant de Gladice, moi et Heubi, d’une misère certaine. Régulièrement, par l’intermédiaire de Jelila, nous avions des nouvelles de Lacksimy. Son traitement contre sa bipolarité faisait son effet, son état s’améliorait doucement. Un jour elle écrit une lettre à Gladice. Elle s’excusait une fois de plus et affirmait aller beaucoup mieux, au point de nous proposer à moi et ma Chérie d’aller passer quelques jours aux États-Unis afin de sceller une réconciliation. Gladice lui avait répondu que tout était possible, et que cela pourrait être la destination de notre voyage de noces. Eh oui ! le projet est bien présent, et pour le plus grand bonheur de Jelila qui nous demanda d’être la marraine de notre futur enfant. Pour Jelila la vie ...
    ... était belle. Son amour sans limite pour Heubi, lui en avait presque fait oublier notre présence, et les parties de cul avec elle étaient tombées en désuétude. Elle ne voyait plus que par sonblack qui lui aussi était tombé amoureux de sa grosse banquière. Un jour il m’avoua, avoir réalisé un fantasme ; le même que le mien : baiser une banquière ! Comme l’avait décidé Madame. Elle nous avait demandé de l’appeler Madame, à cause de sa notoriété grandissante, car pour les gens de l’extérieur, nous étions ses employés ; histoire de faire taire toutes les rumeurs suspicieuses. Elle avait aussi fait effectuer des travaux afin de diviser la maison en deux parties. Sophie avait quitté son appartement pour élire domicile avec nous, et s’était installée dans uns chambre séparée de la nôtre. Un grand éditeur pour lequel je travaillais, m’envoya faire un reportage sur les peuplades du Congo, et je fis ma valise pour trois mois. Avant de quitter ma Chérie pour cette longue séparation, nous avons fait l’amour, et, pour pouvoir penser à elle le soir de mes solitudes ; elle m’expliqua ce que son corps ressentait lors de nos rapports.« Ainsi tu pourras penser à moi encore plus fort quand tu te masturberas ! ».Elle me fit promettre de le faire souvent. Alors, le soir dans ma chambre d’hôtel ; je me mettais nu. Les yeux clos et la main sur le sexe, je me repassais son récit : « Embrasse-moi, mon chéri. Donne-moi ta langue, sens-tu comme la mienne est douce, et ce petit goût de salive si suave, ...
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