1. Banquière perverse (30)


    Datte: 26/01/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... en manque. En manque d’elle, de son parfum, de sa douceur et de ses coquineries, de la toucher ; et puis il y a ce truc qu’elle ne veut pas me dire maintenant. Je saute dans le premier avion, le vol est beaucoup trop long, et je n’arrive pas à dormir ; mon esprit est empreint de son image, de son récit. Je le connais par cœur et il me fait bander à chaque fois comme en ce moment. J’ai en tête tous les clichés de son corps que j’ai envie de le toucher et de le sentir. En arrivant je le ferai l’amour. Je lui dirai des -Je t’aime - à n’en plus finir. Je la caresserai partout comme elle aime que je lui fasse ; avec douceur et sensualité. Je l’embrasserai partout, nos baisers seront longs - comme dans les scènes de films à l’eau de rose – réveillant le fauve qui dort en moi. Je la prendrai comme une bête sauvage, elle aime ça. Je la ferai hurler de plaisir, puis, dans une union presque parfaite ; nous arriverons à l’orgasme ensemble. Nous serons bien et nous nous endormirons tous les deux dans notre grand lit aux draps en satin bleu. À l’aéroport, je prends un taxi. La bague que je lui ai achetée roule entre mes doigts. J’ai le trac comme quand nous jouions notre pièce, nous ne jouons plus sauf en privé juste Sophie et nous. Je cherche comment je vais m’y prendre pour lui demander de m’épouser, je ne suis d’ailleurs pas certain qu’elle accepte de porter mon nom. ! Vous vous souvenez de mon nom de famille ? Dilachaudqueue ! Ça vous parle ? Bon, je sais, il fait sourire, mais nul ...
    ... n’est parfait, et puis s’il le faut je ferai une demande pour le changer ; Madame fera bien cela pour moi. Je sais que l’origine des noms de famille était, par le passé, inspirée par le métier qu’exerçait la personne, le rang social ou un trait de caractère, et je ne sais quoi d’autre encore. À en croire le mien, mes ancêtres devaient être de sacrés queutards Je demande au chauffeur du taxi me déposer au portail de la propriété, afin d’éviter que le crissement des gravillons sous les pneus de la voiture n’attire l’attention. J’entre dans la maison par l’ancienne entrée de service. En effet, et comme l’avait promis Madame, la maison avait été modifiée pour que nous ayons notre chez-nous. La porte de service est devenue l’accès de notre propre appartement. Tout est calme, pas un bruit ne se fait entendre, je pense que les filles doivent être au travail ; alors, c’est le cœur battant à tout rompre que je me dirige vers notre chambre. Au moment de tourner la poignée de la porte, j’entends comme des gloussements. J’écoute à nouveau et reconnais ceux de Gladice. Ils sont plus graves et plus longs que ceux de Sophie, aigus et courts. Je l’imagine, nue sur le lit, se caressant la minette et les seins ; elle doit s’enfoncer un ou deux doigts dans la foufoune. J’ai envie de pousser la porte, d’entrer comme un fou et de la prendre ; maintenant ! « Tu vas voir ce que je vais te mettre, ma Chérie ! »je me dis. Prêt à bondir sur ma proie comme un loup affamé, je pose la main sur la poignée. ...
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