Banquière perverse (30)
Datte: 26/01/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... Non ! Je vais la regarder se caresser, alors, sans bruit ; je tourne la clenche et pousse la porte doucement. Par l’entrebâillure je ne vois pas une, mais deux filles. Gladice, directement allongée nue au milieu du lit recouvert d’un drap blanc. On dirait une chatte lézardant au soleil sur une plage de sable blanc avec un petit chaton (non, pour le coup, c’est une chatonne !) affamée qui tète à tout va les mamelles de sa mère. Discrètement je glisse dans la pièce et me réfugie, ni vu ni connu, derrière une psyché. Je peux savourer ce spectacle torride. La petite chatte assoiffée de lait, suce à grands bruits les mamelles gonflées de désir de sa mère. La source semble asséchée, car elle va chercher meilleur aliment entre les pattes grandes ouvertes, puis couvre tout le corps de baiser et de léchouilles. Que se passe-t-il dans la tête de ma belle ? Comme j’aimerais dans son corps afin de ressentir toutes ces sensations qui la font onduler et gémir ainsi. En ce moment, je regrette de ne pas être une femme, de me laisser lécher le clito, susurré les tétons, embrasser le ventre et pénétrer. Leurs corps s’enlacent dans un 69 torride, leur tête enfouie dans leur entrejambe n’est plus que succion et léchage ; avec les bruits et leurs soupirs. Ce spectacle n’est que ravissement pour moi, elles m’excitent ; j’ai envie de les prendre toutes les deux. Tel un voyeur ou un obsédé, caché derrière le miroir sur pied, je préfère les maters en me tripotant la bite et les couilles à travers ...
... mon pantalon ; je bande très fort. Le spectacle continu. Sophie, toujours aussi ardente se déplace et se place en ciseau, et c’est sexe contre sexe qu’elles se frottent. Leurs mains jouent avec leurs propres seins, elles les font rouler, les écrasent, étirent leur mamelon qu’elles roulent entre leurs doigts. Elles se palpent les fesses le ventre, puis plonge leurs doigts dans leur fente, et comme d’un commun accord ; elles s’enfoncent la main dans le vagin de l’autre. Elles soupirent, gloussent et crient leur plaisir quand l’orgasme les envahit. Il semble que leur jeu ne s’arrête pas là. Sophie rampe sur les corps de ma bien-aimée en couvrant tout son corps de baisers, elle remonte le pubis lisse et brillant de Gladice, passe par son nombril qu’elle nettoie comme le ferait une chatte avec tout le soin que cet animal est capable prendre lors de sa toilette. Puis elle continue son parcours, glisse sur la peau douce et soyeuse de ma chérie pour atteindre les deux jolies sphères rondes avec ce petit monticule pointant vers le ciel. Pour moi la situation devient intenable. C’en est trop ! Mon sexe dur comme un morceau de bois me fait mal, alors, discrètement, je vais me branler dans mon pantalon. Je glisse ma main par la ceinture de mon pantalon et attrape mon zguègue, il bave d’envie ; alors je le masse dans un lent, très lent mouvement de va-et-vient. Les yeux rivés sur les adorables petites fesses de Sophie, et son intimité luisante de sa potion de désir. Leur jeu saphique est ...