Banquière perverse (30)
Datte: 26/01/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... presque celui de deux amoureuses. Elles s’amusent, à moins qu’elles s’entraînent pour me m’offrir ce spectacle si sensuel, si excitant ; et si elles me préparaient une surprise pour mon retour ? Je pense que je vais sortir comme si de rien n’était, et les laisser continuer à préparer leur spectacle. Un dernier coup d’œil avant de m’éclipser, et je découvre les deux filles s’embrasser à pleine bouche comme dans ces films pornos où tout est faux. — Gladice, je t’aime ! — Moi aussi, je t’aime ; mon amour ! Ce que je viens d’entendre me fait l’effet d’une bombe. Le choc est violent, c’est un coup de canon suivi d’un coup de poignard que je viens de recevoir ; mon sang se glace. J’ai des picotements au bout des doigts, ce que je viens de voir se transforme en film d’horreur ; mon cœur saigne. Je ne bande plus. J’ai envie de fuir, loin, très loin ; Gladice ! Tu m’as trahi ! Je fais demi-tour pour sortir de cette horrible pièce. En me retournant, je me prends les pieds dans le miroir, il tombe et se brise dans un fracas épouvantable. Je vais franchir cette porte quand : — Issam ?…Issam…Issam ! Elle m’a déjà attrapée par le bras et me retourne. — Tu es déjà de retour mon Chéri ! Comme je suis contente de te retrouver. Mais ça longtemps que tu es là ? — Assez pour avoir tout compris, je m’en vais ! — Ah ! tu as entendu… — Oui et ça me suffit, laisse-moi et surtout amusez-vous bien… — Attends ! Je t’en supplie ne pars pas, viens ; nous devons te parler… — Parler de quoi ? Je pense ...
... qu’il n’y a plus rien à dire, car ce que je viens de voir et d’entendre me suffit ; nul besoin d’en rajouter. C’était ça ton :« Je ne veux pas t’en parler par texto ? »Tu aurais mien fait d’en parler tout de suite ! — Non Issam ! Ne pars pas, tu n’y es pas du tout ; viens avec nous. Il faut qu’on te parle, nous allons t’expliquer ; ce n’est pas ce que tu crois, dit Sophie en me tirant par l’autre bras. — Mon Chéri, déshabille-toi et viens sur le lit ; c’est un ordre ! Ordre ou pas ordre, je n’ai pas envie de les écouter. Le monde vient de s’écrouler autour de moi, je suis détruit et en colère ; quelle idée j’ai eu de vouloir assister à leurs ébats ! S’il n’y avait pas eu ce« Je t’aime »à la con, cela ne m’aurait pas dérangé ; mais maintenant tout vient de basculer. Mon amour pour Gladice est en train de s’effondrer, j’ai envie de pleurer. Elles me jettent littéralement au milieu du lit. Habillé entre les deux filles assises sur les talons, elles me parlent en commençant à me déshabiller. — Écoute-nous, c’est très important. — OK ? Je vous écoute ! Mais cela ne changera rien par rapport à ce que j’ai vu et entendu. — Tu te trompes, et puis c’est de ta faute ; tu n’avais qu’à nous prévenir de ton arrivée, et les choses se seraient passées différemment. — C’est c’là, toute à l’heure ; ça va être de ma faute ! — Bon, on ne va pas s’embrouiller pour ça, c’est ridicule. Alors écoute-moi bien, et sans poser de questions. Je suis nu. Pendant qu’elle me parlait, et avec l’aide de Sophie ; ...