1. La Maréchale (suite)


    Datte: 27/01/2021, Catégories: ff, Collègues / Travail uniforme, amour, init,

    Le lendemain Agnès me retrouva au foyer. J’avais pensé à elle toute la journée et il me tardait de la revoir. C’est elle qui vint me rejoindre à ma table tandis que je parlais avec d’autres filles, de jeunes recrues comme moi. Quand elle s’assit, je rougis un peu et je vis qu’elle baissait le regard. La conversation s’engagea et nous parlâmes de notre formation et de nos futures affectations. Vers vingt heures, Agnès me demanda si je ne voulais pas l’aider à porter des paquets dans sa voiture. Les autres filles proposèrent de l’aider aussi mais Agnès refusa leur offre, en disant qu’elle n’avait pas beaucoup d’affaires à transporter et qu’à deux nous devrions nous en sortir. On quitta nos compagnes de table et je suivis Agnès à travers la base jusqu’à ses casernements. Sur le chemin, dans la pénombre je lui jetai un regard complice qu’elle me rendit… — Heureusement que les autres filles ne sont pas venues nous aider, lui dis-je en rigolant. Elle me gratifia d’un merveilleux sourire complice et me fit un clin d’œil. Mon cœur battait la chamade lorsqu’on entra dans sa chambre. Elle la partageait avec deux autres jeunes recrues sous-officiers comme elle. Mais la chambre était vide, à cette heure ; ses deux camarades étaient parties dîner en ville. Sitôt la porte refermée et verrouillée, Agnès se jeta sur moi. Elle n’en pouvait plus d’attendre cet instant, tout comme moi. Nous échangeâmes un long baiser. Nos bouches s’aspiraient, nos langues s’enroulaient humides l’une contre ...
    ... l’autre comme de tendres lutteuses. On était dans un état d’excitation inimaginable. — Tu m’as manqué, Sophie, j’ai pensé à toi toute la journée, me dit ma maréchale.— Toi aussi, Agnès, tu m’as beaucoup manqué. J’avais peur que tu regrettes ce que nous avons fait hier. Que tu aies peur de recommencer ou que tu n’aies plus envie de moi. Agnès se mit à rire, découvrant ses petites dents blanches. Elle avait un visage d’adolescente. — Regarde comme j’ai envie de toi au contraire, me dit-elle en défaisant ma ceinture. Elle baissa mon pantalon de treillis et empoigna mes fesses. Je me dégageais et lui enlevais sa ceinture. Je n’en pouvais plus d’excitation. Quelle ne fut pas ma surprise quand je vis qu’elle était nue sous son treillis? Sa toison brune était toute collée, elle avait dû mouiller toute la journée — Regarde, je n’ai pas porté de culotte, aujourd’hui, j’étais toute excitée en pensant à toi et au moment où je te ferais cet intime aveu. Je posais tendrement ma main sur son pubis rebondi. Sa chatte était toute chaude, ses poils étaient un peu collés et un peu durcis par les sécrétions de désir. Je commençais à frotter son sexe déjà tout humide. Agnès écarta les jambes en V pour laisser place à mes doigts qui trouvèrent tout de suite son étroite fente. — C’est vrai, chérie et tu as mouillé pour moi ? lui demandais-je. Je me sentais pute, chienne, lubrique, j’avais envie de sexe, de mots crus. Mon corps était en feu. En guise de réponse, elle prit ma tête dans ses mains et ...
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