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La Maréchale (suite)
Datte: 27/01/2021, Catégories: ff, Collègues / Travail uniforme, amour, init,
... clitoris. Sa mouille me coulait sur le menton jusque dans le haut du cou. Je pensais qu’elle m’urinait dessus. Puis, j’enfonçai mon index dans son trou du cul, lubrifié de mouille. D’un coup, alors, Agnès jouit. Mais elle jouit comme je n’aurais jamais imaginé qu’une femme puisse jouir. Je reçus en pleine bouche un long jet de mouille. Elle m’éjacula contre le visage comme un homme l’aurait fait. J’essayai de boire tout son jus mais je ne pus y parvenir ; une partie s’écoula à terre formant une petite flaque tandis qu’Agnès le souffle court, à la limite de l’asphyxie, se contorsionnait sur le sol. Elle mit longtemps à recouvrer ses esprits et je n’osais plus bouger. J’aimais profondément cette fille. J’étais amoureuse d’elle comme jamais je ne l’avais été auparavant. Je laissais durer cet instant magique. Sa main saisit la mienne et la sera tendrement. Mon cœur battait très fort. Agnès avait toujours les yeux fermés. Je me hissais contre son torse et l’embrassais doucement sur la bouche. Un long et tendre baiser d’amoureuses. On resta longtemps ainsi soudé par terre, nos pantalons sur les chevilles à demi nue, à demi inconscientes. Je sentais sa chatte coulait encore contre mon ventre nu. Nos pubis se touchaient pour la première fois. On faillit s’endormir ainsi. Mais, soudain, on entendit du bruit dans ...
... le couloir. Agnès sursauta. Elle venait de reconnaître la voix de ses camarades de chambre. On bondit sur nos jambes et l’on remonta nos pantalons le plus vite possible en essayant de remettre un peu d’ordre dans nos tenues. C’était trop tard. La clef dans la serrure se bloqua. J’entendis des voix dehors. La clef revint à la charge, se bloqua à nouveau, Agnès avait laissé la sienne dans la serrure. — Agnès tu es là ? demanda une voix.— Oui, oui attends ! Je t’ouvre, dit Agnès qui achevait de remettre sa chemise dans son pantalon Elle courut à la porte tandis que j’ouvrais la fenêtre en saisissant au passage une revue sur l’étagère. Je m’assis sur le lit sagement, les jambes croisées. J’avais peur que l’on voit une auréole de mouille entre mes cuisses. Les filles entrèrent dans la chambre. Elles regardèrent Agnès bizarrement puis me virent assise sur le lit. La plus grande huma l’air. L’odeur de nos sécrétions sexuelles flottait dans la pièce. Les fenêtres étaient recouvertes de buée. C’était trop tard, elles avaient compris. La sergent-chef me dit : — Je crois qu’il vaut mieux que tu rentres dans ta chambre maintenant. Je rougis, baissais les yeux, me levais et quittais la pièce sans même jeter un regard à Agnès. Je me suis enfuie vers la cour. J’avais froid, j’avais peur. Je me mis à pleurer… (A suivre…)