1. La Maréchale (suite)


    Datte: 27/01/2021, Catégories: ff, Collègues / Travail uniforme, amour, init,

    ... tandis que je commençais à branler son clitoris et me roula un profond patin. — Nous ne pourrons pas rester longtemps ici, me dit Agnès en reprenant son souffle, mes compagnes de chambre pourraient revenir. Elle baissa ma culotte sur mes chevilles. — Oh ! Sophie, je t’aime, laisse moi te boire, me dit-elle en s’agenouillant devant moi. Je me laissais faire et écartais les jambes. Elle colla sa bouche sur mon sexe et commença à le laper à petits coups de langue. Debout au milieu de la chambre, j’ondulais du bassin, poussant mon sexe vers sa bouche pour que ses lèvres se pressent contre les replis de mon sexe. Je sentais sa langue aller et venir en moi, comme un petit piston. Ses deux mains avaient ceinturé mes fesses et elle caressait la raie de mon cul tout en me léchant le con et le clitoris. — Oh ! Oui!, vas-y Agnès, continue, tu vas me faire jouir. Je sentais ma chatte se gonfler de jus. J’étais prête à exploser. Agnès m’aspirait les grandes lèvres, lapait mon clitoris, mordillait mes chairs. Elle me fit me tourner et prendre appui contre son lit pour mettre ma croupe en évidence. Elle reprit sa succion ainsi, à quatre pattes, face à mes fesses. Je me retournais et vis qu’elle avait en même temps glissé sa main entre ses cuisses. Elle se branlait vigoureusement. J’entendais le bruit humide de ses doigts qui allaient et venaient dans sa vulve. — Oh, oui ! Agnès continue, c’est bon ! je vais jouir ! Je sentis son autre main glissait dans ma raie et elle enfonça deux ...
    ... doigts dans mon vagin tout en aspirant mon clitoris sous sa langue. Ce fut le déclic. Je mordis ma main pour ne pas hurler de bonheur et lui déchargeai toute ma cyprine dans la bouche. Agnès but jusqu’à la dernière goutte mon fluide d’amour, tandis que je m’effondrais sans force sur son lit, les jambes encore grandes ouvertes avec son visage collé contre mon intimité. Je l’entendais qui continuait à se tripoter la chatte derrière moi. Sa masturbation était violente, saccadée. Pour l’instant, je ne pouvais bouger. J’étais terrassée par l’orgasme et elle avait toujours sa langue au plus profond de ma vulve pour boire mes dernières gouttes de plaisir. Je l’entendais gémir et se branler. Elle s’excitait encore plus en buvant mon jus. C’était vraiment une chienne en chaleur à cet instant. Elle aurait joui n’importe où, devant n’importe qui, avec n’importe quoi. Je voulais la baiser, moi aussi. Je me défis de son étreinte et la repoussai sur le carrelage de la chambre. Elle tomba sur le dos jambes écartées, offertes. Je me jetai entre ses cuisses, écartai ses mains qui branlaient toujours sa chatte et posai ma bouche sur sa vulve inondée de mouille. Son clitoris était tendu comme un mini phallus. Je le pris entre mes lèvres et l’aspirai. Agnès se mit à crier et sa tête s’agitait dans tous les sens. Elle posa ses mains sur ses seins et se pinça les mamelons à travers l’étoffe du treillis et de son soutien-gorge. Elle tirait et tordait ses seins dans tous les sens et je lui suçais son ...