De Hervé à Vanessa, chienne soumise (43)
Datte: 28/01/2021,
Catégories:
Transexuels
— "CLAP, CLAP, CLAP"... C’est Maria qui est revenue. Beau, très beau spectacle... Au fait, c’est quoi comme clopes ? Je me retire, à regret, du petit sexe de Gény. — Sale voyeuse, dis-je en rigolant à Maria, des Marlboro light longues... S’il te plait, et peux-tu passer à cette boutique et me prendre ceci, poursuivis-je en lui tendant un post-it. Maria ale visage qui s’illumine et part fissa en me disant d’être sage. Gény s’est relevée. Elle est belle avec ses cheveux en bataille, mon sperme lui coulant le long des cuisses et ses seins rougis par mes traitements. Je lui demande de se remettre en position et de bien se cambrer, je n’en ai pas fini avec elle. Un peu inquiète, elle s’exécute. — J’aime ton corps d’androgyne. Il me faitbander. Maintenant je vais m’allonger et tu vas venir t’empaler et tu te, me donneras du plaisir. Il faut te lâcher, me montrer que tu me mérites. Compris ? — Oui, Mademoiselle Van... — Non ! Je suis Madame maintenant. Hihihihi... Allez, viens ! Une fois en position, elle prend les rênes, ce qui n’est pas pour me déplaire. Elle dirige ma queue vers son sexe gluant de nos sécrétions. Elle se laisse descendre lentement, pensant qu’elle allait s’arrêter à mi-chemin, elle continue jusqu’à la garde. Je sens son utérus, plus rigide que son vagin, m’enserrer la bite. J’espère ne pas la déchirer. Elle a le visage concentré sur sa descente, se pinçant les lèvres et en me souriant. Je la maintiens dans cette position par les hanches. Elle veut remonter, je ...
... lui interdis. — Reste comme cela, Gény, c’est trop bon... Je vais te remplir de mon jus... Tu sens ? — Hummm... Oui, c’est trop bon, trop fort, mais... Mais... Comment fais-tu ? — Chut, concentre-toi sur notre jouissance. Je te dirais quand tu pourras bouger. Elle hoche la tête et me regarde droit dans les yeux. Je sens mon présperme s’écouler le long de ma tige et venir se déverser sur mes couilles, poursuivre son chemin entre mes fesses et finir sa course sur le carrelage. Elle ahane. Comme une chienne en chaleur, elle passe la langue. Ses yeux sont révulsés, ses narines se déforment au gré de sa respiration. Que dire de son visage qui c’est empourpré et ses veines déforment son cou. Elle est entre souffrance et jouissance, qu’est-ce qu’elle est belle. Je l’imagine dans d’autres positions plus scabreuses les unes que les autres. Je la remonte lentement et le bruit de succion est terriblement obscène, mais elle ne l’entend pas. Je laisse mon gland bien au chaud et la repousse pour la refaire redescendre à fond. Elle piaffe de joie, me remerciant. — Je te laisse donner le rythme. Pose tes mains sur mon torse... Voilà, doucement... D’elle-même, elle imprime des mouvements amples et rapides. À chaque fois, elle se laisse choir sur mon sexe qui fournit toujours le liquide séminal. Elle me regarde sans me voir, toute à sa jouissance qui arrive. Elle se penche et vient m’embrasser, me manger la bouche tout en hurlant son extase. — OUIIII... VANESSA... JE SUIS TA CHOSE...putain... ...