1. De Hervé à Vanessa, chienne soumise (43)


    Datte: 28/01/2021, Catégories: Transexuels

    ... qu’au féminin. Attends, je te montre. Mêlant la parole au geste, elle me gratifie d’une caresse subtile sur mes fesses, s’égarant vite sur mon plug. Je réagis immédiatement en fermant les yeux et en gloussant. Gény n’y croit pas et vient me caresser la queue. Une onde électrique me parcourt l’échine. Je chope la tête de chacune et leur roule, tour à tour, une pelle d’anthologie. — Tu comprends mieux ? — Comment est-ce possible ? — Peu-être un jour, Gény, peu-être. Bon, allez faire un tour en ville, j’ai à faire. Retour pour 21h00, nos invités sont attendus pour 21h30, donc pas de folie... La Ferrari est dans le garage, Émile a pensé que... — Sacré Papoune, aller, viens on va s’habiller. Sautillant comme deux gamines, on se sauve sous le regard ému de Maria. — Comment t’habiller, laisse-moi regarder ce que tu as emmené... Je fouille dans son armoire et ses valises. Rien de bien intéressant. Je l’emmène dans l’ancienne chambre de Théna. — Voilà, lui dis-je en ouvrant la penderie de ma seconde épouse, ici tu trouveras de quoi te saper convenablement. Tu as un quart d’heure et n’oublies pas la douche. Il faut être propre pour la soirée. Poursuivis-je en lui caressant ses fesses. — Bien Vanessa. Une fois mes ablutions faites, plug posé, collier à poste, habillée d’une courte robe en satin blanc, de mules de la même couleur, je me maquille discrètement et me dirige vers la chambre où Gény doit se préparer. Une charmante petite fille délurée se dresse devant moi, habillée d’une ...
    ... mini-jupe noire, d’un bustier blanc, de petites chaussures en toile et de socquettes blanches. Ravissante. Maquillage léger. Parfaite, j’en fais le tour et là, catastrophe, la marque d’un soutien-gorge. — Tu crois qu’avec le peu de poitrine ce truc est nécessaire, lui dis-je en faisant sauter l’attache. J’espère que tu n’as pas de culotte ? — Non, me répond-elle timidement et j’ai remis le... sprsggcm — Parfait, Gény, parfait. Tu apprends vite. Mais assez jacassé. On y va. On passe vite fait embrasser Maria qui nous regarde à peine, trop occupée par ses innombrables petits plats qui embaument la cuisine. Une fois au garage, je me dirige vers la rutilante Ferrari. Gény ne relève même pas, elle doit être habituée à ce genre de bolide, vu que ses parents sont avocats de richissimes armateurs grecs. Un post-it avec un cœur, signé Émile sur les compteurs, je le déplace sur la console centrale en souriant. — Il doit t’aimer comme un fou ? — Et moi aussi, lui dis-je en appuyant sur le bouton "START". Le doux bruit du V12 se fait alors entendre. J’enclenche la première et laisse la bête nous amener hors de la propriété. Une fois sur l’asphalte quasi neuf de la route qui nous emmène à Ibiza (refait par les fonds propres d’Emile). Le doux bruit du moteur me rappelle celui du ronronnement d’un lion prêt à rugir. Inutile de jouer au Fangio, les routes ne le permettent pas. On arrive paisiblement devant le resto de Monsieur Roger, l’ami d’Emile, celui de Malika et le mien par la même ...