Catharsis
Datte: 28/01/2021,
Catégories:
hh,
hbi,
inconnu,
hféminisé,
Oral
hdanus,
hsodo,
init,
mélo,
inithh,
Je suis nu comme un ver, affalé sur le canapé. Légèrement comateux, les effluves de l’alcool font encore pleinement effet. Je regarde le salon inconnu autour de moi, une commode IKEA, deux étagères débordantes de livres, une grande table avec quatre chaises design autour. Une chaîne HIFI rutilante trône sur la commode à gauche. Combien de verres ce soir ? Voyons voir… À la soirée chez Lise, une coupe de Champagne, trois-quatre verres de vins et de multiples caipirinhas… Et le verre de vin blanc offert par le garçon dans ce salon, voilà quelques minutes – mais cela semble que cela s’est passé il y des heures et pourtant, je vois toujours mon verre, auquel je n’ai quasiment pas touché, posé sur la table. Enfin un élément un peu familier dans ce décor étranger : un poster reproduisant la grande vague d’Hokkusai sur le mur en face de moi. Ça me rassure un peu. Un doux sentiment d’euphorie m’envahit. Mon bas-ventre se réchauffe. Je baisse le regard pour apercevoir la tête brune du garçon entre mes jambes. Il continue consciencieusement ses va-et-vient, mon sexe fermement maintenu entre ses lèvres. Jamais une fille n’avait mis une telle ardeur à cette tâche. Elles prennent souvent ça pour un devoir, une contrepartie aux plaisirs que je leur procure. Lui y met une audace, une imagination et un enthousiasme attendrissant. Il me dévore la bite. — Oui, continue… J’ai parlé dans un soupir. Il relève la tête, me lance un sourire énigmatique et replonge vers le centre de gravité de ma ...
... conscience. Je suis son jouet. Qu’il s’amuse autant qu’il le souhaite ! Je souris. Comment en suis-je arrivé là ? Ma vieille amie Lise organisait une soirée pour fêter ses 30 ans. Beaucoup de monde, dont pas mal de jolies filles célibataires. Une jolie brune, grands yeux, beau sourire, la taille fine avait attiré mon attention. Nous avions discuté un bon moment de choses et d’autres, échanges codifiés entre deux inconnus. Le courant avait l’air de passer néanmoins, et j’espérais bien poursuivre nos échanges sur la piste de danse. Mais, las, la concurrence était rude et je la vis tout doucement s’éloigner de moi pour se concentrer sur une autre cible. Que les femmes peuvent être cruelles ! Je fis contre mauvaise fortune bon cœur, et décidai de me rabattre sur le bar, bien fourni en alcools en tous genres. J’y trouvai un autre naufragé de la piste de danse. Nous sympathisâmes tout de suite alors que je lui parlais de mon ancienne proie, qui dansait maintenant avec le sosie de Robert Redford, et que lui m’indiquait en souriant que une jolie blonde qui riait aux éclats de ce que son cavalier venait de lui murmurer à l’oreille. Après plusieurs verres, Fabrice – c’était son nom – me proposa de me ramener en voiture, et en cours de chemin, j’acceptai son invitation à boire un dernier verre chez lui. Il vivait dans un appartement spacieux, meublé avec goût. Il me servit un verre de Chablis. Je m’installai dans le fameux canapé et recommençai à parler de mon sujet favori lorsque j’ai un ...