Catharsis
Datte: 28/01/2021,
Catégories:
hh,
hbi,
inconnu,
hféminisé,
Oral
hdanus,
hsodo,
init,
mélo,
inithh,
... peu trop bu – les femmes. Je lui parlai des aventures d’un soir, des passions d’une semaine, des amours d’une vie qui durent un mois. J’avais tellement bu que je finis par évoquer Caroline. Je lui racontai notre quinquennat de passions, de rires, de jalousies puis de ressentiments. Combien je regrettais que nous nous soyons séparés, un an déjà, je ne sais plus pour quelle raison minable – enfin, je ne préférais pas m’en rappeler. Comment toutes les femmes qui partageaient ma couche se voyaient désormais impitoyablement évaluées à l’aune de mes souvenirs d’elle. Il m’écoutait, assis sur une chaise. En face de moi, son beau visage concentré – il avait moins bu que moi, c’était certain. Il acquiesçait parfois. Me posait des questions, s’intéressait. Puis, après avoir parlé un long moment, je m’aperçus que n’avais plus rien à dire, que je ne connaissais Fabrice que du soir même, et que, quoi qu’il faisait preuve d’une politesse à toute épreuve, mes histoires n’intéressaient que moi. Je me levai. — Il se fait tard, merci pour ton accueil, je vais rentrer. Il se leva de sa chaise, s’approcha de moi très près. Alors que j’avais un mouvement de recul, il me passa la main derrière la tête pour me rapprocher de lui et m’embrassa. Son baiser était très doux. Je sentais l’odeur de sa peau, une odeur propre, fraîche, sûrement son savon. Malgré mon extrême surprise, j’écartai les lèvres et nos langues purent se rencontrer et commencer à jouer. Il avait entre temps utilisé son bras libre ...
... pour me coller à lui. Il me caressait le dos et descendait prudemment vers mes fesses. Sa main droite finit par se loger dans la poche arrière de mon jean et il commença ainsi à me tripoter les fesses. — Je… je n’ai jamais…— Ça je sais, me dit-il dans un sourire. Tout va bien se passer, laisse-toi aller. J’aime la courbe de tes fesses. Je lui rendis son sourire, tout en savourant son compliment. Beaucoup de filles m’avaient déjà fait cette remarque, mais c’est la première fois qu’un homme me signifiait son désir, et cela faisait vibrer une part endormie de mon être. Cette fois c’est moi qui l’attirai pour lui rendre son baiser. Ses mains de détachèrent de mes fesses, et il commença à déboutonner les boutons de mon jean. Je voulus faire de même, mais il m’arrêta : — Non, laisse-toi faire, tu verras, ce sera plus fort pour toi Je levai mes jambes l’une après l’autre pour qu’il pût me débarrasser de mon pantalon. Il me retira ensuite mon polo, et désormais seulement vêtu de mon caleçon et de mes chaussettes, je me laissai allonger sur le canapé. Il s’allongea près de moi et me regarda longuement dans les yeux, d’un air très sérieux, la main posée sur ma hanche : — Je veux te laisser un souvenir impérissable de cette soirée. Il commença à laisser courir ses mains sur mon corps. M’embrassa dans le cou, léchouilla mes tétons, des frissons me parcoururent. — Tu as froid ?— Un peu. Ne t’arrête pas. Léger sourire moqueur. — Enlève ton caleçon Timide soudain, mais néanmoins obéissant - ...