1. Catharsis


    Datte: 28/01/2021, Catégories: hh, hbi, inconnu, hféminisé, Oral hdanus, hsodo, init, mélo, inithh,

    ... genoux et suis ses instructions. Je l’entends se lever, quitter la pièce puis revenir un instant après. Il débouche un tube. Je sens l’instant d’après qu’il m’étale du gel sur l’anus. C’est froid. Il commence par faire des cercles, doucement, puis de plus en plus rapidement. Je sens une chaleur remonter, c’est très agréable. — Tu as vraiment de très belles fesses. Je ne peux pas le voir, mais je souris. C’est flatteur d’être désiré ainsi. La pose me paraît très humiliante, mais j’ai depuis longtemps accepté mon rôle et mon excitation et mon attente sont à leur comble. Il a désormais introduit un doigt en moi. Le gel a bien lubrifié mon orifice et je ne ressens aucune douleur. Il ajoute doucement un deuxième doigt, qui entre plus difficilement. — Tout va bien pour le moment ?— Ça va.— OK, très bien, essaie de détendre tes muscles, je vais y aller très doucement. Il commence alors un mouvement de piston avec ses deux doigts. Je sens que mon anus s’échauffe, c’est une sensation très douce. N’y tenant plus, je prends ma verge en main et commence à me caresser. Je bouge les fesses pour accélérer son mouvement. Il a raison, j’aime ça. — Tu as l’air d’être prête, ma belle. Alors qu’il retire ses doigts, que je l’entends ouvrir un sachet et dérouler le préservatif, je mesure l’impact de ses mots. Pour lui, ça y est, je suis une femme. Quelle ironie, moi, qui me suis toujours considéré comme un homme à femmes, qui enchaîne les aventures d’un soir. Moi qui ai vu l’amour de ma vie me ...
    ... quitter après une infidélité de trop. Et me voilà, à genoux, les fesses offertes, attendant qu’un mâle en rut prenne son plaisir. Je sens soudain que son sexe vient buter contre mes fesses. Une inquiétude me saisit. Il va me faire mal. Je me contracte. — Shhh, ne t’en fais pas, détends-toi, ça n’ira pas sinon. Son gland cogne à la porte, prêt à s’engouffrer dans la brèche. Ses mains agrippent mes hanches et m’empêchent de bouger. Et il commence à pousser. La douleur est fulgurante. Je mords le coussin pour ne pas crier. Il fait une pause. Je reprends mon souffle. La douleur est redescendue d’un cran. Puis soudain, nouvelle poussée, nouvelle douleur. Cette fois-ci, il ne s’arrête pas, mais accentue méthodiquement sa pression pour progresser millimètre par millimètre au cœur de mon intimité. — Ahhhh…— Désolé ma belle, ça fait toujours un peu mal la première fois. Puis une dernière poussée qui m’arrache un cri, et je sens qu’il est tout au fond de moi. Pause. Je ne bande plus du tout, la douleur a complètement fait retomber mon excitation. Je suis déchiré. Mais qu’est-ce que je fais là ? Doucement, millimètre par millimètre, il ressort. Je pousse un soupir de soulagement. Mais non, ce n’est pas fini. Il se réintroduit, peu à peu, patiemment, sans brûler les étapes. La douleur est toujours là, mais elle est plus acceptable. J’essaie de me détendre, ça va mieux. Je me sens rempli et possédé. Puis il commence des va-et-vient. Doucement d’abord, puis de plus en plus rapidement. — Oui ...
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