1. Petit coup de main


    Datte: 29/01/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail fgode, fist, fdanus, jouet,

    ... mais je ne regrette pas la vue.— Espèce de charmeur. Sachant ce que j’allais te demander, je me suis fait une beauté. Fallait au moins que je sois présentable, enchérit-elle en baissant la voix. Tu vois ce que tu me fais dire ? Jamais je n’aurais osé parler comme ça même avec toi, avant.— Oui, mais ça c’était avant. Et puis ta position ne va pas. Même si ce que je vois est magnifique, tu n’accouches pas précisément du bon orifice et ce qui nous intéresse maintenant n’est presque pas visible.— Ah oui. Je comprends. J’ai très très chaud moi aussi, attends, je me déshabille. Enfin je veux dire que j’enlève le haut. Zut, je m’enfonce. Nous rions de plus belle encore une fois, à en avoir les larmes aux yeux. Elle se relève et debout sur son canapé, d’un geste enlève son pull et son chemisier. Elle dégrafe son soutien-gorge et jette le tout à l’autre bout de la pièce après les avoir faits tourner au-dessus de sa tête. Elle se retrouve torse nu devant moi tout en n’ayant pas lâché mon regard une seule seconde, les poings sur les hanches. Ses seins pointent vers moi, provocants. Ils sont en poire mais ne tombent pas du tout. Sa jeune quarantaine est très largement enviable. D’un très beau volume, sa peau est claire et les aréoles très roses. Elle a un très léger relief au niveau du ventre qui ne laisse pas apparaître ses deux grossesses d’il y a vingt ans. — Alors ? me demande-t-elle d’un air de défi, provocante à souhait.— Tu es magnifique. Tu ne me rends pas les choses faciles. ...
    ... Était-ce bien nécessaire ?— Non, pas du tout, mais je crevais de chaud et surtout j’en avais une folle envie de le faire. C’est ta faute aussi à me regarder la chatte je ne reste pas insensible. D’ailleurs, et hop ! En voilà de la jupe aussi, tant qu’à faire autant que ce soit un moment agréable !— J’ai aussi vraiment très chaud d’un coup mais tu ne m’en voudras pas de ne pas suivre ton exemple ?— Je vois ça, dit-elle en désignant du menton mon bassin où en baissant la tête je vois la déformation de mon pantalon. Non je ne t’en veux pas, je sais très bien ce qui est possible et ce qui ne l’est pas. Mais voilà, MOI j’ai envie de m’amuser. J’ai déjà la honte de ma vie de ce qui m’arrive, je ne vais pas en rajouter, autant que j’y prenne du plaisir, s’exclame-t-elle. Du plaisir j’en ai manqué trop longtemps pour ne pas en profiter maintenant. Je ne te demande rien. Enfin pas plus que ce que tu dois déjà m’aider à faire. Et d’une toute petite voix elle termine en se remettant en position : et puis j’en ai vraiment envie, me montrer comme ça à toi, ça m’excite à mort. Profites-en bien, ce ne sera pas tous les jours.— Alors détends-toi. Plus tu seras détendue, plus vite ça ira. Et pour en profiter, tu peux compter sur moi. C’est déjà étonnant que je ne bave pas comme un malade. En parlant de baver, elle a de l’avance sur moi et de loin. Elle s’est remise un peu plus allongée sur le dos mais cette fois me regarde bien, plus aucun obstacle ne l’empêchant. Je prends un coussin pour lui ...
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