Petit coup de main - Histoires de Sexe

Petit coup de main

... d’un énorme fantasme et est carrément surréaliste. Je ne voudrais pas, l’alcool aidant, être tenté d’en profiter ni que tu te méprennes sur mes gestes.— Excuse-moi, l’alcool me fait dire des bêtises. D’ailleurs ça ne te dérange pas si je reprends un petit verre ? Tu sais, c’est la première fois que je me montre à un homme depuis ma séparation.— Si tu veux, sers m’en un aussi, pour passer le cap. Cette situation est particulière. Mais tu veux dire que depuis que tu as quitté ton ex, rien ?— Non rien, d’où les jouets et là où nous en sommes aujourd’hui. Elle nous ressert un demi-verre chacun et cette fois ne verse pas du tout de jus d’orange. Après m’avoir passé mon verre elle siffle le sien d’un trait, s’étouffe à moitié et part à rire pendant que j’avale le mien. Sans un mot, elle s’installe en position demi-assise sur le canapé et remonte ses jambes. Avec sa jupe longue j’ai l’impression d’assister à une scène d’accouchement digne d’un vieux film. C’est à mon tour d’avoir le fou-rire en la regardant et comprenant la scène elle me suit. — Tu sais c’est aussi la première fois pour moi que je me retrouve dans cette posture, dis-je en m’agenouillant devant elle. Bon j’y vais, je te remonte ta jupe sur les genoux.— Tu comptes me détailler tout ce que tu fais ? rigole-t-elle encore plus.— Euh, je disais ça pour te rassurer.— Pour ME rassurer ?— Oui, bon, pour me rassurer aussi.— Vas-y, cela ne me dérange pas, termine-t-elle en écartant les jambes. Mais essaie de faire vite je ne ...

... sais pas si je pourrai tenir longtemps.— Pourquoi ? Tu as mal ?— Non justement, j’ai de très grosses envies.— Ah, cela va peut-être m’aider, c’est une bonne chose. C’est lorsque je me décide enfin à regarder en m’accroupissant que je réalise qu’émotionnellement je ne reste pas insensible. Je suis en pleine érection et je ne m’en étais pas rendu compte une seule seconde jusqu’à cet instant. Et je regarde. Heureusement la jupe retroussée jusqu’aux genoux me cache de son regard, car j’en reste bouche bée. Ses jambes sont fines et musclées, ses grandes lèvres sont gonflées et luisantes, entrouvertes sous le coup de l’excitation et surmontées d’une fine bande de poils bien taillés. Je perçois même la palpitation provoquée par l’afflux sanguin. J’en suis obligé de repositionner mon outillage dans mon boxer tellement j’ai mal. Je sens d’ailleurs que je suis en train de le tremper de liquide pré-éjaculatoire. Elle écarte encore plus les jambes alors que je n’ai toujours pas bougé. Ses grandes lèvres s’ouvrent complètement telle une fleur rosée et les petites s’écartent aussi, d’un rouge clair nacré très tendre. Elle coule littéralement sur le drap. — Ça ne va pas ? demande-t-elle.— Non. Si. En fait, non. Mais ce n’est pas que toi.— Tu n’es pas très clair, là.— C’est moi, dis-je en me relevant en enlevant mon pull, j’ai très chaud. On va mettre ça sur le compte de la vodka.— Mais oui bien sûr. Et la marmotte…— Tu es très belle, très désirable. Je ne te connaissais pas sous ce profil, ...