Petit coup de main
Datte: 29/01/2021,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
fgode,
fist,
fdanus,
jouet,
... temps à lubrifier et pour certaines caresses c’est très agréable, nous en utilisons beaucoup.— C’est la journée des découvertes aujourd’hui ! Moi aussi, je vais en apprendre sur toi.— Mais je ne te cache rien, si tu me poses la question. Par contre je n’en parle pas c’est différent.— C’est bien pour ça que je me suis tournée vers toi, je savais que je pouvais compter sur ta discrétion et ta compréhension.— Oui enfin, de cette façon-là je ne m’y attendais vraiment pas. Allez, on y va, il va être dix heures et demie, autant qu’on en finisse vite et on pourra profiter de l’après-midi. Et c’est ainsi que nous partons avec sa voiture d’abord chez moi où je prends la petite bouteille de lubrifiant et puis nous allons chez elle dans son appartement. Trajet de quarante-cinq minutes tout compris. Nous plaisantons sur son état et je me moque d’elle doucement mais elle le prend bien. Elle-même bouge suffisamment souvent sur le siège passager pour que je lui en fasse la remarque. Mais surtout, je la surveille car elle a des changements de couleur assez réguliers. C’est en entrant dans l’ascenseur de son parking que je lui demande. — Tu es certaine de ne pas avoir mal, tu sais ça se voit que tu n’es pas bien et bien que tu ne sois jamais livide, tu as quand même de gros changements de couleur des joues et du front.— C’est que j’ai des coups de chaud. Et non je t’assure je n’ai vraiment pas mal. C’est même plutôt le contraire. C’est pour cela que je ne me suis pas mise en pantalon ...
... aujourd’hui. Un pantalon aurait été trop serré et en plus j’ai eu peur que ça se voie.— Je ne vois pas comment ça aurait pu se voir, vu qu’il ne dépasse pas.— Je ne parle pas du plug, mais de mon excitation. J’ai la culotte complètement trempée. C’est surtout ça qui me dérange. Déjà c’est inconfortable, mais se balader avec un gros truc dans le fondement ça me provoque des envies, c’est énorme. Si j’avais mis un pantalon on aurait pu croire que je m’étais fait pipi dessus, dit-elle un peu honteuse.— Ah, ces femmes ! Et dire qu’on pense que ce sont les hommes les plus cochons !— Oh, ça va toi n’en rajoute pas, dit-elle en rigolant. J’aimerais bien t’y voir dans une situation où tu pourrais jouir à chaque instant sans rien contrôler.— Tu te lâches de plus en plus, dis-moi. Je n’ai pas l’habitude de t’entendre parler comme ça.— Avec ce que tu vas voir, je crois que je peux me le permettre, termine-t-elle en me faisant un clin d’œil. Elle ouvre son appartement et fait presque comme si de rien n’était. Elle me propose de m’asseoir et me demande si je souhaite un apéritif. Elle est toute rouge, sachant ce qui nous attend. Malgré mon apparente assurance je ne suis pas en meilleure condition. — Oui après tout, pourquoi pas. Cela me détendra. As-tu quelque chose d’un peu fort ?— Vodka-orange ? J’en aurai bien besoin aussi.— Parfait ! Pendant ce temps je vais me laver les mains. Je préfère être parfaitement propre. Et la voilà en train de rougir de plus belle, tout comme moi. Je ne vois plus ...