1. Nos nouveaux voisins (1)


    Datte: 31/01/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    Nos nouveaux voisins Mai 1999 ; nous venons d’emménager dans notre nouvelle maison. Quand je dis « nous », je parle de moi (Patrick ou Pat) et de ma femme Julie, l’amour de ma vie, celle avec qui la vie est parfois un doux fleuve tranquille et parfois un torrent dévalant la pente de la montagne. Elle est forcément magnifique : blonde, de taille moyenne, un 90C dont je me plais à en vérifier la tenue, et ses fesses sont à croquer. Bref, c’est ma chérie. Tous deux dynamiques et sportifs, peu complexés, nous attachons une grande importance à notre hygiène ; nous sommes équipés du matériel nécessaire, et nous nous épilons intégralement. Nous venions d’acheter notre première maison ; cet achat était l’aboutissement de nos projets, et nous comptions finir avec la plus belle chose au monde : un bébé. C’était un rêve et un désir profond, la concrétisation de notre amour. Cette maison, nous l’avions choisie car elle avait tout ce qu’il nous fallait : le confort, avec deux chambres (et la possibilité d’en faire dans les combles), et pour le reste une très grande pièce à vivre avec cuisine ouverte. Ses seuls défauts étaient sa mitoyenneté et la hauteur de clôture avec la maison d’à côté. Elle possédait un jardin suffisamment grand pour ajouter une petite piscine à côté de la terrasse, y faire pousser des fleurs pour ma chérie – elle adore les fleurs – et un potager. Deux jours après avoir emménagé, alors que nous faisions une pause après avoir tout rangé, on sonna à la porte. J’ouvris. ...
    ... En face de moi, un homme jovial m’apostropha : — Bonjour ! Moi, c’est Nanard, votre voisin. Je suis venu vous souhaiter la bienvenue et vous inviter à la fête des voisins après-demain, le premier juin. — La fête des voisins ? Jamais entendu parler, lui répondis-je. — Normal, c’est nouveau ! C’est la première année. — Eh bien d’accord. Le surlendemain midi, nous nous rendîmes chez le fameux Nanard que nous ne voyions jamais pas plus que sa femme. Nous avions pris une bouteille de vin et un bouquet de fleurs, le cadeau classique. Comme il faisait très chaud en ce premier jour de juin, Julie avait opté pour une robe légère et des sous-vêtements, moi short et tee-shirt. Au premier coup de sonnette, Nanard ouvrit la porte, toujours aussi jovial : — Bonjour ! Il ne fallait pas... Chérie, tu viens ? Nos voisins sont arrivés. Il n’avait pas terminé sa phrase que sa femme était déjà là. — Je vous présente ma femme, Annie. Moi, c’est Bernard, mais appelez moi Nanard et... — Julie et moi, Patrick ou Pat, merci pour votre invitation. — Allez, assez de mondanités, on va boire un coup ! Suivez-moi. Il nous accompagna vers la terrasse où était installée la table et tout ce qu’il va avec ; l’apéro était prêt, l’ambiance conviviale. Après avoir fait plus ample connaissance et trinqué, je décidai d’aborder le sujet qui nous ennuyait un peu : — Nous aurions voulu vous parler d’une petite chose qui nous ennuie un peu. — Ah, qu’y a-t-il ? Rien de grave ? — Oh non, ce n’est pas grave ; il s’agit ...
«1234»