Nos nouveaux voisins (1)
Datte: 31/01/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... fus pris d’une terrible érection ; nous sommes repartis vers l’autre bout de la piscine. Au moment de sortir de l’eau, j’avais la queue encore un peu raide. — Hum, je vois que Pat est en forme... Pas de cochonneries chez moi ! Bien, chéri, tu nous sers un coup ? Il fait soif ! Pas vrai, Julie, reprit en riant Annie. — C’est vrai. Allez, Nanard, à boire ! Pitié, nous mourons de soif... hamhnnkd Il resservit les verres et m’entraîna, le verre à la main, faire le tour de son jardin. Il m’expliqua que n’était pas jardinier pour deux sous et préférait la pelouse au potager. Il me montra l’installation de filtrage de la piscine située au fond du jardin dans une petite cabane et m’avoua que le coût de fonctionnement était un peu élevé, sans compter le système de sécurité pour les enfants. Lorsque nous somme ressortis de la cabane, nous avons eu la surprise de voir nos femmes assises côte à côte les pieds dans l’eau, Julie en appui sur ses bras en arrière et Annie une main posée très haut sur la cuisse de ma chérie. Nanard et moi nous sommes regardés, surpris. — Je pense qu’elles sont en train de devenir copines, dis-je. — Oui, et même plus... Cela ne vous... te... on se dit « tu », hein ! — Oui, pas de souci, au contraire ; et tu voulais dire quoi ? — Euh... je crois qu’elles vont faire un truc un peu chaud. Ta femme n’a pas l’air sauvage ; peut-être avez-vous déjà fait du, de... — De l’échangisme ? Non. Pourquoi, vous le faites ? — Non, pas encore, mais l’idée nous trotte. ...
... Tiens-moi mon verre ; je vais aller nous chercher à boire et des trucs à manger. Il me laissa et revint avec un panier contenant des bières et du saucisson. Dans la cabane, il y avait des fauteuils de jardin qu’il installa sous un arbre. Tous les deux nous discutions à poil tout en matant les filles qui étaient passées à la phase bisous. Je me délectais de ce spectacle saphique qui se déroulait à l’autre bout de la piscine. Elles en étaient aux caresses ; ma Julie se faisait masser les seins, ses tétons pointaient. J’observais avec la plus grande attention leurs ébats. J’avais lu quelque part que seules les femmes étaient capable de se procurer plus de plaisir que nous pouvions leur en donner ; belle leçon d’érotisme qu’elles étaient en train de nous donner ! Nous avions tous les deux la queue à la verticale ; nous nous sommes alors approchés pour voir cela de plus près car elles étaient passées au 69. Julie gémissait, Annie gloussait, leurs gestes étaient précis. Je voyais qu’elles allaient chercher le plaisir à l’endroit et au moment précis de leur désir. Elles ondulaient toutes les deux et râlaient, puis tout s’est arrêté ; elles vibraient de plaisir. À voir Julie, je savais qu’un orgasme était en train de l’envahir, et nous étions là plantés, la bite à la verticale. Annie se releva nous regarda : — Julie, regarde ce qu’il y devant nous ! — Ah ouiii... La suite, la suite, viiiite ! — Julie, tu me prêtes la queue de ton homme et je te prête le mien. La réponse de ma chérie me ...