1. Nos nouveaux voisins (1)


    Datte: 31/01/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... de la clôture : cette maison nous plaît, le voisinage aussi, mais pour la clôture nous aurions voulu savoir si on aurait pu la rehausser un peu. — Ah, je vois, dit Nanard. Si c’est à cause du vis-à-vis, nous avions l’intention de vous en parler aujourd’hui, comme quoi les grandes idées se rencontrent. — C’est vrai ? reprit Julie. — Bon, je vais aller droit au but : nous aurions voulu être tranquilles pour bronzer, si vous comprenez, repris-je. — Ça tombe bien : nous aussi, et le vis-à-vis ne nous dérange aucunement. Quand nous avons appris que votre maison était à vendre, notre plus grand souhait était d’avoir de nouveaux voisins conciliants sur la nudité. Nous avons même rêvé d’enlever la haie et de mettre un portillon pour que nos futurs voisins puissent profiter de notre piscine. Cette réflexion nous laissa pantois un instant, que nos voisins exploitèrent pour s’absenter en prétextant la préparation du barbecue. Nous étions seuls. Je demandai à ma Julie : — Qu’est-ce que tu en penses ? — Écoute, je ne sais pas ; ils ont l’air sympa, et nous ne sommes pas pudiques. Alors, pourquoi pas ? Et si ça ne va pas, on pourra en rediscuter, je pense. — Tu as raison. Tu as vu la piscine ? Je piquerais bien une tête ; pas toi ? — Si, mais on n’a pas de maillots, s’inquiéta Julie. — Et alors ? Si on se baigne, on le fait nus : comme ça, on sera fixés. — Eh bien toi, t’es toujours aussi direct ; et si ça dérape ? Tu vois ce que je veux dire... — Je t’aime, ma chérie. Tu n’as jamais eu ...
    ... ce fantasme, faire l’amour avec un autre couple ? Elle hésita un peu, me prit la main, m’embrassa avec la langue et me répondit : — J’avoue en avoir rêvé... mais j’ai peur que tu n’aimes pas. — Tu parles que je n’aimerais pas ça... J’en crève d’envie ! Notre conversation s’arrêta net au retour de nos hôtes. — Un autre apéro ? Vous voyez, l’avantage d’être voisins : pas de risque sur la route ! reprit-il en remplissant nos verres. — Vous avez une belle piscine ; pas trop de boulot à entretenir ? enchaînai-je. — Ça va ; mais je suis bête ! Il fait chaud : vous voulez vous baigner ? — Oui, mais on n’a pas de maillots, répondit sournoisement Julie. — Allez, nous sommes entre nous. Annie, on se baigne ? Allez, venez. Julie et moi avons laissé tomber nos derniers préjugés en même temps que nos vêtements, et nous avons tous plongé dans l’eau encore fraîche de la piscine. Nager nus était un vrai plaisir, avec cette sensation de totale liberté ; Julie et moi nous sommes retrouvés au bout du bassin. — Qu’est-ce qu’on est bien... me souffla ma chérie. — Oui, c’est vrai ; et tu as vu comme ils sont beaux tous les deux ? — Oui, Pat. Annie me donne terriblement de... je... — Tu as envie de faire des trucs avec elle ? — Pardonne-moi, mon amour, ce n’était pas une bonne idée. Oublie. — Mais non, je t’aime ; vas-y, fais-le : c’est un plaisir que je ne pourrai jamais te donner ; mais je veux voir. En guise de réponse, elle prit ma tête entre ses mains et m’embrassa avec une telle fougue que je ...