Retour de l'internat (2)
Datte: 31/01/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... l’on peut aussi trouver dans la réalité des scènes que je pensais n’exister que dans les films, ou dans les fantasmes de mes copines d’internat. Alors qu’une des deux femmes disparaît à présent à ma vue, l’autre est parfaitement dans ma ligne de mire. Assise sur le bord d’une couchette, elle entreprend une fellation au profit de deux des militaires. Debout à ses côtés, ils l’encouragent de grognements et de compliments sur ces capacités, tout en l’accompagnant d’une main dans les cheveux ou de caresses plus ou moins tendres sur ses seins. Je vois ses tétons s’ériger, et des plaques rouges marbrer sa peau, après quelques tapes sèches et précises de ses deux acolytes, auxquels elle répond de petits couinements que je peine à interpréter. Loin de désirer un même traitement, je frémis de gêne et me tortille sur place, mais au lieu de m’enfuir, je rectifie ma position pour m’assurer une vue parfaite. J’en profite pour libérer ma main droite et instinctivement, elle qui était posée sur ma cuisse remonte inexorablement vers mon entrejambe, soulève ma jupe et se glisse sous mon string. J’y découvre mes lèvres trempées de désir, et prends brusquement conscience de mon état d’excitation. Je sais que je ne le ferai jamais, mais j’ai follement envie d’être à la place de cette inconnue. Cette dernière vient d’ailleurs de se positionner à quatre pattes sur la couchette. Elle suce toujours goulûment le membre d’un de ses partenaires tandis que l’autre, à genoux derrière elle, cherche ...
... l’entrée de son sexe. Il l’embroche d’un coup de rein, et un long frisson me parcourt le dos alors que la femme lutte pour rester en place tout en ne s’étouffant pas avec la poutre qu’elle avale. Après avoir humidifié mes doigts de ma cyprine, je me masse activement le clitoris. C’est plus fort que moi : surprendre ces ébats fait rejaillir mes envies de l’après-midi, et exacerbe mes fantasmes. Je jette furtivement un regard vers le couloir, mais il est bien désert. Ma main gauche empoigne mon sein droit, et le malaxe doucement. Je sens mon plaisir monter, implacable. Je crois bien que cette nuit encore, je vais jouir, et pas sous les caresses de mon copain ! Le ballet à l’intérieur vient de passer au dernier acte : celui qui se faisait pomper jusqu’à présent s’allonge sur le dos, et la demoiselle ne tarde pas à le chevaucher, ponctuant son entrée d’un râle approbateur. L’autre se masturbe quelques instants, le temps de retrouver de la vigueur et de les laisser s’amuser un peu, puis plonge son pouce dans sa propre bouche, le suce, le retire, l’approche de l’anus de la femme. Je la vois tourner la tête et lui sourire. Non ! Je n’y crois pas ! Je comprends, médusée, que mon éducation sexuelle va passer un nouveau cap cette nuit. Avant que je ne retrouve mes esprits, il la prépare et son sexe dressé remplace son pouce à l’entrée interdite. Ma vue est imprenable : lentement, le gland écarte la peau plissée et se forge un passage. L’autre militaire s’est immobilisé pour lui faciliter la ...