Remplacement - 1/2
Datte: 02/02/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... m’empaler plus fort, ma toison collée à la sienne, nos ventres collés. Je sentais le plaisir monter, une boule chaude au creux du ventre, mais souvent il ralentissait, me gardait immobile contre lui : — Tu veux pas jouir ? Tu peux, tu sais … — On a un peu oublié le préservatif … — Oui … on a oublié … Il m’a soulevée plus haut et m’a reposée au sol, m’a prise par la main pour m’entraîner dans le couloir. Il a poussé une porte, l’a refermée : Jonas et Christelle faisaient l’amour. Restait le salon. Milou a regardé le canapé un moment en faisant la moue, et puis a soulevé la table du salon pour aller la poser contre le mur. Le tapis n’était pas bien épais et grattait un peu, mais je n’y ai pas trop fait attention. Il y avait bien longtemps que je ne m’étais pas sentie aussi petite enfermée dans les grands bras d’un garçon et écrasée par son poids sur moi. Il voulait me protéger en se tenant sur ses bras tendu au début, mais moi je le voulais sur moi tout entier, je voulais son poids, je voulais sa furie que j’encourageais de mes talons contre ses fesses et je voulais le sentir jouir au plus profond de mon ventre. Je vous ai dit, un gaillard pareil, on en trouve pas si souvent. Et en plus, ça je vous l’ai pas dit, mais en plus c’est un beau mec, pas juste un géant, non, un beau mec, vraiment ! Encore cette fois j’ai senti qu’il ralentissait, qu’il se retenait : — T’arrête pas, continue … — Toi ? — Après, après … je veux te sentir … baise moi, continue ! Il grognait, n’avait pas ...
... l’air convaincu, il hésitait. — Tu t’occuperas de moi après, Milou, t’en fais pas … hein que tu t’occuperas de moi ? Je me cramponnais à ses fesses, mes doigts crispés, que j’aurais voulus plantés dans ses fesses, mais elles étaient trop dures. Les giclées chaudes, la tension rythmée de sa verge, les coups de reins brusques, son poids enfin sur moi quand il s’est relâché … il voulait se retirer mais je l’ai gardé sur moi, agrippée à lui de mes cuisses et de mes bras. Affalé sur moi il n’essayait plus de me ménager et pesait sur moi de tout son corps. J’étais bien. — Tu vas l’étouffer ! Il s’est redressé et j’ai tourné la tête sur le côté : deux pieds, deux jambes qui se perdaient dans l’ombre d’un grand sweat. Christelle était plantée là à côté de nous. Milou a basculé sur son coude sur le côté, a passé le bras sous mon cou, gardant une jambe sur ma cuisse. — Vous êtes bruyants ! Vous avez presque réveillé Jonas ! — Il dort déjà ? — Ben ouais ! Elle s’est agenouillée près de moi : — C’est pas trop dur ? Le tapis est pas bien épais … — Dis donc ! C’est mon sweat, ça ! — Pas trouvé de peignoir … ça va ? — Ben … il avait pas fini ! Elle a tourné la tête en plissant les yeux vers mon ventre : — On dirait pourtant que si … tu coules sur le tapis ! — Lui il a fini, mais pas moi ! — T’as laissé ma copine en rade ? Milou riait : — J’ai obéi, c’est tout ! M’engueule pas ! Elle a dit après … Christelle s’est relevée et a soulevé le sweat qu’elle m’avait emprunté et a enlevé la petite ...