1. Le Téléphone sonne, tu décroches (3)


    Datte: 05/02/2021, Catégories: fh, extracon, cocus, inconnu, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme fsodo,

    ... a refusées gentiment. Le lendemain, dimanche, je me lève un peu plus tard. Manon était déjà passée à la salle de bain. — Bonjour, mon amour. Bien dormi ?— Pas trop.— Anxieuse ? Impatiente ?— Oui ! Je n’en dis pas plus et la laisse à ses rêveries. Vers 11h00, l’heure du départ, je la vois descendre les escaliers toute pimpante. Elle s’est habillée d’une simple robe fleurie et toute boutonnée sur l’avant jusqu’aux genoux. Manches courtes bouffantes, premier et dernier bouton défait, chaussures dégagées et lacées jusqu’aux genoux par un cordon en cuir, talons hauts, bref une tenue stricte, pas outrancière, mais très plaisante et estivale en ces beaux jours ensoleillés. Sa peau bronzée, ses cheveux blonds doré, ses yeux qui pétillent, son sourire radieux complètent l’image de ma femme devenue femme jusqu’au bout des seins. Justement, à propos de ceux-ci, quelque chose m’intrigue, car je les vois balancer librement au rythme de sa marche. — Tu es resplendissante. Tu vas plaire à Éric.— Tu crois ? Ma tenue est correcte, n’est-ce pas.— Je te l’accorde et je trouve, même, que tu es très à l’aise sous cette robe.— Ça ne se voit pas de trop, j’espère ?— Non, mais on peut le deviner aisément et c’est très plaisant. Bravo !— Attends, tu n’as pas tout vu. Elle se place face à moi et, avec un petit sourire grivois, commence, avec une lenteur calculée, à remonter sa robe. Je découvre, progressivement, ses genoux, ses cuisses et enfin son pubis qui n’est pas protégé par cette pièce de ...
    ... lingerie appelée string ou culotte. — Tu es donc nue sous ta robe. Chouette ! mais, ce n’est pas raisonnable, car il t’a demandé d’être discrète.— Personne ne le saura, sauf toi. C’est notre petit secret et je crois que ce n’est pas pour te déplaire. Je sais que tu seras tout émoustillé de me savoir nue sous ma robe, déambulant dans leur jardin. Éric ne le saura pas. Je lui dirai lors de notre prochaine rencontre. Nous arrivons à l’heure convenue devant une petite villa bourgeoise, très coquette, entourée d’une haie taillée à hauteur d’homme. Je me gare face au portail en fer forgé. Avant de descendre du véhicule, j’embrasse gentiment mon épouse et en profite pour passer ma main sur son corps que je sens un peu tendu. Je descends ma main sur ses jambes et la remonte, doucement, sous sa robe et à l’intérieur de ses cuisses. Elle se laisse faire et dans un réflexe, elle écarte un peu les genoux me laissant le passage libre. Mon doigt vient toucher sa vulve trempée de ses sécrétions et s’introduit assez profondément dans son vagin. Surprise, elle pousse un petit cri et ferme les yeux. J’effectue un lent va-et-vient. Elle s’abandonne totalement à cette pénétration. Je la sens vibrer et elle commence à gémir doucement. Je la regarde prendre son plaisir. Nerveusement, elle défait trois boutons de sa robe, découvrant, de la sorte, son bassin qu’elle glisse en avant sur le siège et le soulève un peu pour venir à la rencontre de mon doigt. Une de ses mains vient, fiévreusement, assister la ...
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