Le Téléphone sonne, tu décroches (3) - Histoires de Sexe

Le Téléphone sonne, tu décroches (3)

... mienne m’obligeant à augmenter la cadence. Mon rythme devient très rapide, ses gémissements de plus en plus bruyants. C’est une véritable fontaine, car mes doigts sont trempés de sa mouille. Elle écrase son clitoris entre son pouce et son index. Elle le décalotte. Je peux le voir très tendu comme un petit sexe et elle commence à se masturber frénétiquement en hurlant son plaisir. Tout à coup et assez rapidement, elle se cabre projetant son pubis en avant et en hauteur en prenant appui sur ses deux pieds et ensuite retombe sur le siège en poussant un soupir de bien-être. Pendant qu’elle récupère de son orgasme, je cherche un mouchoir pour m’essuyer les doigts et, levant les yeux vers l’extérieur de la voiture, j’aperçois, au travers d’une fenêtre du 1er étage de la maison d’Éric, un visage et un mouvement de rideau. Inquiet, je scrute la vitre et je devine une tête, derrière la draperie, qui nous observe toujours. Manon ne s’est aperçue de rien et je ne lui fais pas part de ma découverte. Il est évident que cette personne a assisté à notre petit divertissement. Manon revient à la réalité et, peut-être par provocation, j’essuie moi-même, son sexe en lui demandant d’écarter plus fort les cuisses. J’écarte largement les pans de sa robe ce qui a pour effet de mettre en évidence sa magnifique petite toison. Je prends le temps de bien éponger la cyprine en n’hésitant pas à introduire le mouchoir dans la petite grotte d’amour. Manon, insouciante et ignorant la présence du voyeur, ...

... se laisse faire. — Chéri, je crois qu’il est temps ! on va être en retard. Je t’aime et c’était très bon. Je me sens un peu plus apaisée. J’espère que je ne suis pas trop marquée…— Non, ne t’inquiète pas. Tu es sublime et je t’aime aussi. Ne refais pas tous les boutons, s’il te plaît, laisses-en deux de libres.— Tu crois. Éric, pourtant m’a dit une tenue correcte.— Lâche Éric et écoute-moi !— OK Je descends de la voiture pour en faire le tour et ouvrir la portière de mon épouse. Notre voyeur se trouve toujours à son poste et je m’en amuse un peu. J’aide Manon à descendre tout en la gardant dans le champ de vision de notre homme. Il doit, certainement, se régaler de la voir s’extraire du véhicule et, tout comme moi, a une vue directe sur son entrejambe. Arrivés sur le seuil de la porte, nous sonnons et attendons quelques secondes avant qu’Éric ne vienne nous ouvrir en décrochant un large sourire à l’égard de mon épouse. Ils se donnent un bisou sur chaque joue, discrétion oblige, mais les lèvres de Manon sont très proches de la bouche d’Éric. Je perçois, nettement, une complicité entre nos deux protagonistes. Il nous fait entrer dans le hall et appelle son frère qui descend du 1er étage. Là, je comprends qui était derrière la fenêtre. Un beau grand jeune homme qui paraît plus jeune que ses vingt printemps. Un peu boutonneux et habillé d’un tee-shirt assez ample et d’un jean taille basse très mode. Poli, il se présente en serrant d’abord la main de Manon qui ne fait pas trop ...