Le Téléphone sonne, tu décroches (3)
Datte: 05/02/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
cocus,
inconnu,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
fsodo,
... sans broncher. Cependant, je me rends compte que Manon remue anormalement sur sa chaise et, en observant d’un peu plus près, je ne vois plus la main droite de Bruno. Je lui adresse un regard interrogateur et il me répond par un large sourire ainsi qu’un clin d’œil. Je comprends son allusion quand je dévisage mon épouse qui, rouge de confusion, baisse les yeux pour me regarder ensuite en se pinçant la lèvre inférieure et fermer les paupières. Bruno est certainement en train de la tripoter et elle y prend plaisir. L’ambiance devient lourde et il est grand temps que quelque chose se passe avant que cela ne tourne à la tragédie, car Éric risque de s’en apercevoir. Il devient de plus en plus difficile de suivre sa conversation. Soudain le miracle se produit, ma prière fut probablement entendue, car le portable d’Éric se met à retentir. En fait, il doit quitter, avec regrets et excuses, le repas qu’il vient de terminer, car, étant de garde, il doit partir chez un client dont l’alarme vient de rendre l’âme. Il en a, probablement, pour la soirée, se confond de nouveau en excuses et demande à son frère de l’aider à charger sa voiture de l’outillage nécessaire. Une fois les deux hommes partis, Manon se lève de table en titubant un peu et s’approche de moi avec un large sourire. — Ta proposition tient toujours, j’espère ?— Rafraîchis-moi la mémoire !— Tu veux sentir dans quel état mon voisin m’a mise ? Je reste assis sur ma chaise et fait face à Manon qui avance tellement près que je ...
... suis obligé d’écarter les genoux. D’une main, je passe à l’intérieur de ses cuisses pour remonter vers son pubis et toucher sa vulve qui est détrempée. Elle me regarde fixement et ses yeux en disent long sur son état d’excitation. Elle commence à défaire les trois premiers boutons de son corsage pour s’arrêter juste un peu plus bas que sa poitrine. Tout en soutenant mon regard, elle déboutonne le bas de sa robe jusqu’à son pubis. Il lui reste deux boutons qui maintiennent sa robe fermée. Se penchant vers moi, elle recule légèrement son bassin et je suis obligé de lâcher prise à mon grand regret, et me chuchote à l’oreille : — Tu n’irais pas faire la sieste sur le banc dans le fond du jardin ?— Bien sûr ! apparemment, il t’a bien emballée ?— Tu ne peux pas mieux dire. Tu sais ce qu’il me faisait sous la table ?— J’imagine.— Heureusement, Éric n’a rien remarqué ! Bruno a commencé par me toucher le genou avec le sien. Pour les raisons que je t’ai citées tout à l’heure, j’ai refusé le contact. Ensuite, il a insisté et a déposé sa main sur ma cuisse. J’étais tétanisée et j’observais Éric. J’avais peur qu’il aperçoive la manœuvre de son frère. J’ai bien essayé de lui retirer sa main, mais il était tenace et ne bougeait plus. Il était plus fort que moi et, par peur d’un scandale, je n’osais pas réagir. Et puis, j’ai pensé à toi et à nous et je me suis dit « pourquoi pas ». Je me suis laissée faire. Sa main a commencé à bouger, elle était chaude et me faisait du bien. Je sentais une ...