Banquière perverse (5)
Datte: 06/02/2021,
Catégories:
Hétéro
Satisfait de cette situation, le plateau de Madame en mains ; je sors de la pièce et me dirige vers la cuisine. Je vais baiser sa salope de fille comme dit la banquière ; mon fantasme va-t-il se réaliser ? Par contre je ne comprends toujours pas pourquoi elle traite sa fille de salope. Tout en me rendant à la cuisine, je réfléchis à ce que je vais bien pouvoir lui faire. La queue toujours tournée vers le ciel, j’entre dans la cuisine et découvre la belle Gladice fouillant dans un placard le corps plié en deux, la croupe bien en arrière. Elle m’expose sans complexe sa chatte et son trou du cul. Une brutale pulsion me projette vers se cul si attirant. Alors, je la saisis par la taille et l’encule sans autre forme de procès. — Holà ! Espèce de mal élevé, tu pourrais frapper avant d’entrer. C’n’est pas marqué entré libre sur mon cul, que je sache. M’interpelle-t-elle. — Oh, pardon, je suis désolé mais c’était trop tentant. — Hein c’est vrai que j’ai un beau cul ? — Beau et bon tu veux dire ; bon je vais te laisser tranquille, mais tu ne perds rien pour attendre. — Attendre quoi ? Tu ne crois pas que je vais ramasser les miettes et passer après le blondasse. Maintenant que tu as commencé le travail, tu continues ; fais moi jouir par le cul. — C’est vrai ? Je peux, et après tu me suces ? — Si tu veux. Encore un de mes fantasme ; me faire sucer après la sodomie : un régal ! Alors j’y retourne et la pilonne comme une bête ; de toute façon, nous ne sommes que des bêtes de sexe. Nous ...
... sommes tous les deux fait du même bois ou plutôt nous avons tous les deux une bite à a place du cerveau. Elle ondule, râle et moi je lime. Si elle se met à crier comme l’autre fois, on va se faire piquer ; Madame n’aime pas ce genre de chose car c’est elle qui décide et donne les ordres. Après tout, je ne vais pas la laisser décider tout le temps ; je suis un mec… merde alors ! — Tu ne vas pas crier et puis tu ne vas pas jouir non plus, puisqu’il faut que le partenaire soit fouetter pur que tu arrives au bout. — Ah, oui … ? Ça, c’est du cinéma ; c’est pour faire plaisir à Madame. Moi, j’aime quand on le fait normalement ; alors vas-y défonce moi le cul. Le haut de mes cuisses claque contre ses fesses ; ses seins battent la mesure. Elle ne dit mot mais respire comme une vache et moi comme un bœuf. Elle vient de passer sa main entre ses cuisses et s’astique l’abricot. Elle insiste et se caresse de plus en plus fort, elle vibre, glousse, couine et enfin arrive à l’orgasme. Elle m’attrape les couilles et tire dessus : « Oh putain, elle est folle ; elle va me les arracher ! » Tout en me tenant par les couilles, elle se dégage, se retourne, attrape mon vit d’une main, le décalotte et tirant la peau vers le bas et l’étrangle à sa base. Je le sens se gonfler et il devient presque mauve ; la bouche grande ouverte, elle l’enfourne et me suce. « Que s’est bon de se faire sucer après cette belle enculade ! » Cette fellation est une pure merveille, elle s’occupe de mon gland avec douceur. ...