1. Banquière perverse (5)


    Datte: 06/02/2021, Catégories: Hétéro

    ... poil… Je ne t’en dis pas plus, à toi de voir. — Merci, je te revaudrai ça, je ne sais pas comment ; mais je te le revaudrai. — Comment ? En me faisant l’amour en vrai avec des sentiments et de la douceur. Elle aussi me laisse perplexe, que fait cette fille aussi jolie avec ces deux folles ? Une idée aussi folle qu’idiote me traverse l’esprit : « Et si je devenais son amant et pourquoi pas son mari ?…Oui c’est ça je vais lui faire la cour » — Bon ce n’est pas le tout, mec ; mais tu as une mission très importante à accomplir. Tiens, bois ceci, ça va te donner de la force pour baiser la blonde. — Merci, c’est quoi ? — T’inquiète, c’est naturel et utilisé par les hommes dans des tribus lointaine ; bois. Je bois une sorte de tisane au gout indescriptible, elle est ni bonne ni mauvaise. Je n’en connais pas les effets mais on verra bien, je lui fais confiance. Une sonnerie retentit. — C’est l’heure, Madame nous attends. Tu es prêt ? — Il le faut bien, pour faire plaisir à Madame, je suis prêt à tout maintenant. — Alors en route. Nous arrivons dans une pièce où Lacksimy (la fille de Madame) attend, nue sur une espèce de canapé aussi vaste qu’un terrain de foot. Dans la pièce il y aussi ma banquière. Elle git sur un fauteuil en velours, elle ressemble à une guimauve fondant au soleil. Elle n’est pas nue mais porte juste un peignoir grand ouvert sur son corps gélatineux. Les cuisses grandes ouvertes, elle dévoile un pubis et une grosse moule parfaitement vierge de tout poil. ...
    ... Serait-elle prête à se faire sauter aussi comme elle le dit si bien, ou est-ce pour m’exciter ? Pour m’exciter je dis oui, les femmes pulpeuses voire un peu grosses me font de l’effet. Quoique le petit cul de Gladice ne me laisse pas du tout indifférent, pour preuve, vu ce que je viens de lui mettre. Mais pour l’heure, je dois m’occuper de la demoiselle. — Me voici Madame, que désirez-vous que je fasse ? — Issam, tu vas me prouver que tu es un homme, un vrai ; alors tu as carte blanche, elle est à toi. — Maman, je ne veux pas qu’il me touche, tu n’as qu’à mettre Gladice à ma place. — C’est moi qui commande ici, alors tu fais ce que je dis ; je veux te faire passer tes envies de gouine. Je veux que ma fille ai un jour un enfant alors tu vas voir comment une bonne queue, bien mise, là où il faut ; ne peut faire que du bien. — Bien Maman, comme tu veux ; mais je ne lui … — Allez, Issam, action. Je veux du sexe et ne la ménage pas, montre lui ce qu’est un vrai homme. — Bien Madame. Je sais comment je vais procéder : tout d’abord en douceur pour ne pas l’effaroucher et après je vais augmenter. Je m’approche de l’espèce de lit, c’est une estrade recouverte d’une épaisse moquette que je juge au toucher ; c’est de la laine. Lacksimy attend étendue un peu sur le côté, semble hypnotisée par ma bite qui même au repos en impose. Je me glisse à côté d’elle, effleure sa hanche ; elle recule un peu. — N’ai pas peur, tu vas voir comme c’est bien, je lui chuchote. — Je n’ai jamais fais ça avec un ...