1. Banquière perverse (5)


    Datte: 06/02/2021, Catégories: Hétéro

    ... homme, telle est sa réponse. — … Je glisse ma main le long de sa cuisse droite avec toute la douceur dont je suis capable, puis mes doigts courent sur son ventre, du nombril au pubis mais sans aller plus loin. Je veux l’amener doucement vers le plaisir comme je le fais habituellement. Petit à petit elle se détend et ose même poser sa main sur le côté de ma fesse. Mes mains englobent facilement sa poitrine. Bien loin d’avoir la taille des nichons gigantesques de sa mère, ils ont un certain charme ; doux et fermes à la fois. Un doigt pour réveiller ces tétons qui attendent que je les titille, puis deux doigts en pinçant légèrement pour les faire pointer. Ma langue les lèche, pour faire monter son excitation, et la belle ondule doucement. Elle ferme les yeux, respire doucement ; je la tiens, elle est à moi ! Sa bouche doit être une merveille, je doute qu’elle accepte ma langue mais j’essaye. Une main de chaque côté de son visage, mes pouces caressent ses tempes ; j’approche mes lèvres. Le contact avec cette bouche est doux, humide. Avec toute la délicatesse donc je peux faire preuve je lui propose ma langue ; elle résiste à peine. Sa bouche s’entrouvre, j’en profite pour y entrer ma langue, et là, surprise ; sa langue vient chercher la mienne avec ferveur. Quelle belle aubaine, elle est donc d’accord. « Pour une lesbienne, c’est pas mal du tout ; je vais te posséder !» Ses tétons pointent sous mes pincements, son ventre ondule sous mes caresses, son sexe s’humidifie sous mon ...
    ... doigté. Elle ondule encore un peu plus et me dévore littéralement la langue. zjtzssby Un coup d’œil à gauche un autre à droite. Madame, vautrée dans son fauteuil, le peignoir grand ouvert, a le regard planté sur nous, elle se touche l’abricot. Sans un mot elle bave de désir, sa moule ruisselle d’envie. « Tu en veux du cul, tu vas en avoir ! » cette pensée me donne de l’ardeur. Gladice, assise sur une chaise nous dévore du regard, impassible. À en voir sa tête, elle jubile devant cette scène torride. — Oh ouiii… ! Que c’est bon…continue. Lacksimy commencerait-elle à apprécier les hommes où est-ce de la simulation ? Pour en avoir le cœur net, j’entreprends une nouvelle exploration. Sa minette c’est elle que je lèche maintenant, sa cyprine au gout suave me fait plaisir ; je titille ses grandes et petites lèvres. Cette fois, elle gémit, je touche au but. Je vais la prendre maintenant ! — Tu veux savoir ce que c’est qu’un vrai mec ? — Oh oui, vas y prends moi ! Je fais volte face, me couche sur elle, elle écarte les cuisses au maximum. Devant cette invitation je l’empale avec force ; elle crie. — Ah…Ah oui…Défonce-moi… ! Je ne sais pas ce que m’a fait boire Gladice mais j’ai la bite en feu. Elle est si dilatée qu’elle me fait mal et moi je me sens presque surhumain. Oh, que c’est bon de se sentir fort ; alors je la baise comme a dit sa mère ; je suis une bête en furie. Plus elle crie et plus je pilonne, mes couilles battent ses fesses et ses seins suivent la cadence, et elle crie ...