1. Un fil rouge pour Joëlle [Partie A] (5)


    Datte: 09/02/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... longent les trottoirs, au pas pour exciter les mecs en attente d’une bonne opportunité. Franck se gare le long d’un trottoir et pas moins de cinq ou six hommes s’approchent et matent, en se branlant, Joëlle qui pompe superbement Laurent, alors que Franck écarte les fesses et doigte hardiment sa vulve. Puis, après l’Étoile ils descendent les Champs-Élysées escortés de hauts 4x4 qui profitent du spectacle vivement illuminé. Parvenus à La Campagne à Paris, Laurent leur fait les honneurs des ruelles. Il est tard, les maisonnettes en meulières sont fermées, certaines éteintes. Franck retire à nouveau le débardeur, Joëlle rouspète. — Mais ils dorment tous, réplique Franck, regarde pas une fenêtre n’est éclairée — Mais si, regarde là, et là et encore ici, ils vont me voir — Ils sont tous devant leur télé, et c’est bien dommage on voudrait justement qu’ils te matent répond Laurent Parvenus au bout là où les rues pavées se rejoignent, Laurent avise un banc qui fait face à la maison d’angle dont a large fenêtre du salon est éclairée. Une silhouette massive se découpe dans la lumière Laurent place les mains de Joëlle sur le dossier, et défait le bouton de la ceinture, la jupe tombe à ses pieds. Il se place derrière elle, s’accroupit, écarte les escarpins et vérifie, entre les fesses, la bonne préparation de la femelle. Parfait elle est tout à fait trempée. — Elle mouille comme une salope, ta femme — Regarde en face, Joëlle, la fenêtre est éteinte — Le mec est allé se coucher, alors ...
    ... suggère Joëlle — Non répond Franck, il a éteint pour mieux voir, il te mate dans le noir Elle ferme les yeux, non pas pour éviter d’observer le voyeur, mais parce que Laurent la pénètre lentement, attisant le désir, stoppant la progression de son phallus, se retirant pour mieux s’engouffrer ; le mandrin envahit la vulve à fond et s’anime en cadence puis progressivement la pistonne violemment. — Je veux qu’il se branle bien, le salaud. Plus ton cul bougera, plus tes nichons valseront, plus il s’astiquera sur toi. Pour lui, en face, tu n’es qu’un film de cul, Joëlle, une actrice de théâtre porno pour branleur. Ça t’excite, ça, Joëlle : une bite dans ta moule baveuse et une queue, là-bas qui va cracher son foutre en te lorgnant nue et défoncée en pleine rue ; j’espère qu’il a pris ses jumelles, le gars pour bien voir tes seins, ta touffe, tes cuisses écartées Ces paroles excitent Joëlle, la verge la remplit et fait monter son orgasme, et ce membre invisible mais si présent, presque palpable ajoute au plaisir, décuple l’onde qui la ravage quand Franck viole sa bouche soudainement, de côté, debout sur le banc. Elle se laisse partir, ses genoux flanchent, Laurent et Franck la maintiennent debout elle se retient de hurler son plaisir dans la nuit, le corps secoué de spasmes. Joëlle reprend ses esprits, assise sur le banc, cuisses écartées. Franck la rhabille et ils repartent en passant devant la maison. — Tu m’as bien fait éjaculer, salope, entendent-ils murmurer dans un accent ...