Un fil rouge pour Joëlle [Partie A] (5)
Datte: 09/02/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... africain, en passant devant les buissons le long du muret. Franck s’approche, salue l’homme d’un clin d’œil complice et rejoint sa femme — Il n’était pas à la fenêtre, mais beaucoup plus près de nous, dans le jardin et il avait bien des jumelles... organisé, le gars, commente Franck — Tu vois Joëlle, c’est un endroit connu pour le type de prestation que tu viens de fournir, ajoute Laurent, il doit être exercé le black Ils arrivent à l’hôtel, minuit est largement passé. Le bar en face du comptoir est allumé, Franck précède Joëlle et Laurent, cherche une table, pas de barman. Le réceptionniste les suit : — Le barman est parti, mais je vais vous servir, installez-vous. Ils ont choisi une table à l’écart de la porte ouvrant sur le hall de l’hôtel. Ils passent commande et Franck propose en insistant que le garçon se serve un verre. — Je vous l’offre avec plaisir, quel est votre prénom ? — Max, Monsieur S’il savait ! Il n’y a pas qu’un verre que Franck va lui offrir... Pendant que Max prépare les boissons, ce pauvre débardeur quitte de nouveau le torse de Joëlle et Franck lui ordonne — À genoux, fais une pipe à Laurent Joëlle hésite, puis Laurent ayant prestement ouvert son pantalon, elle se lève du fauteuil et s’agenouille entre les cuisses pour lécher le membre très en forme avant de l’engloutir progressivement toujours plus profond. Franck remonte le volant de la jupe, qui, froissé autour de la taille découvre totalement le postérieur de Joëlle. Une lampe en pied éclaire le ...
... dos, ses fesses, ses jambes ; d’ici on voit le sein que Laurent tripote, soufflette, pince. Max manque lâcher le plateau... On dirait qu’il veut embrasser ce cul offert quand il se penche plusieurs fois juste au-dessus pour poser les verres sur la table basse. Franck arrache le plateau et prend Max par le poignet, le force à s’asseoir dans le fauteuil que vient de quitter Joëlle. — Profite Max, je t’offre aussi de baiser ma femme ; ça ne se refuse pas ou je serais vexé ! Joëlle quitte un instant son pompage, tourne sa tête pour sourire au garçon en signe d’invitation. Max s’enhardit et malaxe bientôt les deux globes tendus vers lui, puis descend le long des cuisses pour remonter au milieu. Toutes ses copines étant épilées, c’est une découverte ébouriffante, une expérience insoupçonnée qui s’offre à ses doigts ! Une divine pelouse ! De la fourrure, pas un glacis. Une toison frisée à la fois douce et rebelle : les poils, souples, s’enroulent et retiennent ses doigts comme des ressorts, pas comme des cheveux qui ondoient. Il prend son temps, s’acclimate, troublé par la sensualité que cette touffe procure à ses phalanges. Sans la voir, il en arpente les bords triangulaires, juge du méticuleux entretien, évalue la tonte uniforme du gazon, les bordures nettes au long des grandes lèvres glabres, lisses et douces. Joëlle est émue de cette lente et douce exploration de son buisson bien ouvragé. Les doigts qui visitent son jardin ne se précipitent pas dans sa grotte, se promènent tout ...