1. Un fil rouge pour Joëlle [Partie A] (5)


    Datte: 09/02/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... autour, au milieu, au bord, sur la rive, lui procurant de délicates sensations. Des frissons parcourent les lèvres ourlées, son pubis, tempo moderato, impatiens maxima. Attentive à son triangle, elle s’applique sur Laurent, spectateur consentant de la scène lubrique. Max goûte l’infini raffinement de la femme mûre qui résiste intimement à l’abolition des fourrures. Avec ses ongles, plongés dans cette luxure, il peigne les poils, carde délicatement les volutes, se fait horloger des ressorts. Joëlle rappelle Max à la réalité temporelle, projette sa main à l’aveugle cherchant la braguette, tandis que Laurent tend une capote au garçon. Qui ne se fait pas plus prier pour se harnacher et enfin chevaucher la femelle avec toute la fougue de ses vingt-deux ans. Ses amples coups de boutoir, réguliers, et pourtant maîtrisés, pilonnent Joëlle, dont le régime s’emballe, gorge percutée, vulve culbutée, elle part en embardées. Max est endurant. Il est maître des clés et seul à savoir que tous ses clients sont rentrés, il a d’ailleurs fermé le portail de l’hôtel. Il est libre Max. Alors il veut s’amuser, durer, perdurer dans ce con offert. De son fort braquemart qu’elle n’a même regardé, ni touché ni sucé, il offre plusieurs orgasmes à Joëlle et ne semble pas vouloir s’arrêter... Fougue de la jeunesse. Franck redresse sa femme toujours à genoux, face au réceptionniste. — Max, finis-toi sur ses seins, tu as été super, il est temps qu’on boive nos verres, il est tard, on va aller dormir. ...
    ... Franck ne croit pas si bien dire ! Arrivés à la chambre, Joëlle, Franck et Laurent se retrouvent vite, nus et épuisés sur le lit. Joëlle s’empale sur le sexe de Franck, ambiance brouillard, un peu... Laurent s’est posté devant la petite porte, qu’il lubrifie consciencieusement, pendant que Joëlle se fait laborieusement limer. Franck prend son pied, et s’il ne s’endort pas, reste léthargique en dessous de sa femme qui tend toujours plus son anus. Laurent vrille depuis un moment sa langue dans la porte étroite de Joëlle. Il alterne langue, pouce et beaucoup de salive pour pénétrer l’orifice vierge. Le mari engourdi, Laurent s’enhardit. L’épouse attisée s’offre, s’abandonne à la profanation, la réclame. Elle ressent un afflux de salive, puis le dard se pose sur la rosace. La pression, insensible n’en est pas moins déterminée. Joëlle sait qu’elle s’est déjà trop offerte, même si elle ne s’est pas encore donnée. Elle implore la douceur ; invoque la douleur. Laurent la caresse, la rassure, mais Laurent persiste, progresse, s’introduit. — Le gland est presque passé, tu vas aimer maintenant, tente de rassurer Laurent — Tout doucement, tout doucement... ne bouge plus ! Laurent stoppe l’intromission mais tourne doucement son membre pour ameublir et roder ce cul inexploré. Joëlle répond à ses caresses, bouge son bassin autour du pieu. Imperceptiblement, elle s’empale, fait de son fessier un balancier, son sphincter s’adapte à l’intrus et progressivement se relâche. Le colosse englouti, ...