1. Epoque Baccalauréat : THE TWILIGHT LOVE


    Datte: 09/02/2021, Catégories: fh, jeunes, école, Masturbation facial, Oral 69, pénétratio, fsodo, init,

    Elle était cette fille que nous avons tous connue. La nymphette de la terminale scientifique. Moi j’étais plutôt le petit gars renfermé, pas vraiment laid mais pas très beau non plus. Tamara, c’était une jeune fille magnifique, belle et terriblement attirante. Il faut dire qu’elle faisait tout pour l’être. Elle ne s’offusquait pas en entendant une plaisanterie osée ou des allusions salaces. Elle savait s’habiller, sexy mais jamais vulgaire. Simple et souriante. Un ange. Une brune d’1m70 environ, pas spécialement fine mais nullement enrobée pour autant, des yeux clairs à tomber par terre, des cheveux ondulés, et un visage fin et souriant. Je me souviens que je suis tombé amoureux d’elle dès le premier jour de la nouvelle année scolaire. Comme 23 des 24 garçons de ma classe, le dernier étant homo. Lorsque je me masturbais dans mon lit le soir, c’était souvent en pensant à elle, m’imaginant que je perdais mon pucelage avec le fantasme de tout le lycée. N’était-elle qu’un fantasme ? Pouvait-on la réduire à cela ? Je dois avouer qu’en ce qui me concerne, je ne pouvais la regarder sans l’admirer, je ne pouvais l’écouter sans rêver d’elle (perdant donc vite le fil de la conversation). En tout cas, elle ne serait sans doute jamais qu’un fantasme. Comment une relation avec Tamara aurait-elle pu devenir réalité ? Impossible. Nous sommes le 9 juin, à quelques jours du bac. Je dois dire que je m’en fais pas trop pour cela, j’ai plus de 13 de moyenne et, à part en cas de catastrophe, je ...
    ... devrais bien m’en sortir. Tamara aura certainement plus de difficultés, sa moyenne demeurant en eaux troubles, autour de 7 ou 8. Trop occupée à jacasser avec ces copines ou à s’amuser d’une fête branchée à une autre, de celles où je ne suis jamais invité. Sincèrement, j’étais assez indifférent à son sort. Nous ne faisions pas partie des mêmes cercles, évidemment, et puisque je ne pourrais jamais devenir ne serait-ce que son ami, pourquoi me soucier d’elle ? Moi, j’étais inscrit au club échec, elle à l’équipe de danse du lycée. Le midi, je passais mon temps en salle de perm à réviser, pendant qu’elle jouait aux cartes ou qu’elle discutait, assise en tailleur sur le tailleur du foyer. Tamara est un rêve, alors pourquoi s’évertuer à désirer quelque chose que l’on n’aura jamais ? Tamara est une sainte, bénévole dans plusieurs associations caritatives, et je n’arriverais jamais à en faire mon petit diable. Ce n’est pas qu’elle ne m’intéressait pas. Au contraire, quelques mots coquins prononcés entre ses lèvres suffisaient à m’exciter au plus haut point. Je me rappelle cette conversation que j’ai surpris, dans la queue du self, quelques jours avant Noël. Je ne sais pas pourquoi j’étais seul ce jour-là, mes (rares) amis ayant sûrement déjà déjeuné ; toujours est-il que je me suis trouvé juste derrière Tamara qui discutait avec sa copine Elodie. Et bien sûr, j’écoutais attentivement leur conversation. Et elles ne s’en étaient pas aperçues. Elles parlaient de sexe. Elodie racontait que ...
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