Epoque Baccalauréat : THE TWILIGHT LOVE - Histoires de Sexe

Epoque Baccalauréat : THE TWILIGHT LOVE

... demande-t-elle, en replaçant ses cheveux derrière son oreille, au-dessus de mon visage. Je l’embrasse à pleine bouche, je sens le goût du sperme, peu importe. Je la prends par la taille et nous roulons jusqu’à ce que je sois sur elle. Les doigts de sa main droite ont repris leur mouvement sur ma queue, tandis qu’elle se caresse de l’autre main. Doucement, j’approche mon sexe de sa chatte. — Doucement murmure-t-elle, un peu craintive. Je la pénètre très doucement, sans vraiment sentir quand l’hymen rompt. Elle ferme les yeux, pour savourer le plaisir et supporter la douleur. Enfin je suis au fond de son sexe. Elle me dit que c’est très bon. Elle me demande d’y aller, de la faire jouir. Je m’active, d’abord lentement, mais je passe rapidement à la vitesse supérieure, ravi de la voir goûter à mes mouvements, à mes halètements. Ses soupirs de plaisir deviennent rapidement des petits cris étouffés à mon oreille. Je viens de jouir, je suis plus endurant. Elle me murmure d’y aller encore plus fort. Plus vite. Vas-y, c’est tellement bon. Ta queue me fait tellement de bien. Fais-moi jouir et je te donnerais tout ce que tu voudras. J’accélère encore. Les gouttes de sueur coulent de mon visage jusqu’au sien, je l’embrasse et le goût de mon sperme que je rencontre de nouveau m’excite énormément. — Jouis, ma puce.— Oh oui, je vais jouir. Je vais jouir. Je vais… Elle se raidit et crie de bonheur. Je ne m’interromps que lorsque que je suis sûr qu’elle a goûté à l’orgasme en entier. Elle ...

... ouvre les yeux, calme et satisfaite. — Bon, il me semble avoir compris tout à l’heure, quand tu étais sous moi, ce que tu voulais.— Ben oui, mais tu as dit à Elodie que…— Comme quoi, ça ne t’a servi à rien d’écouter. Tu crois que deux filles se confient vraiment tous leurs fantasmes ? J’en ai d’autres encore que tu connaîtras plus tard. Ça, je ne voulais pas vraiment, mais tu sembles le désirer, et comme je n’y suis pas vraiment opposée non plus… Et puis ton doigt tout à l’heure… Hm, c’était agréable.— Tu es sûre ?— Oui, mais on reste comme ça. Je ne conteste évidemment pas. Je prends mon sexe dans ma main et le pose doucement en face de son anus. — C’est là ? Elle ferme les yeux pour acquiescer. — Tout doucement s’il te plaît.— Évidemment ma puce. Je pousse très lentement, je goûte à la résistance de son anus, je pousse un peu plus fort et je sens mon gland qui commence à entrer dans son cul, aidé par l’humidité de son récent orgasme. Je vois la douleur se dessiner sur les traits fins de son visage, mais elle continue de me sourire. Mon sexe est presque entré complètement maintenant, je vois qu’elle ne prend pas encore le moindre plaisir, mais qu’elle me laisse tenter ma chance, elle m’autorise à essayer. Quand mes couilles touchent enfin ses fesses, je commence à bouger lentement. Elle ouvre la bouche, peut-être pour me dire d’arrêter. Je pose mon pouce contre son clitoris et le remue. Elle ferme les yeux et referme la bouche. Je m’active à un rythme assez soutenu, et je lui ...