Ma tentation incestueuse (9) - Histoires de Sexe

Ma tentation incestueuse (9)

Le lendemain, mes parents avaient leur journée de congé, et la veille de Noël arrivait à grands pas ; plus que trois jours à attendre, j’en trépignais presque d’impatience. Je me sentais moins nerveuse depuis que maman et moi nous nous étions caressées la veille au soir, dans le bain, mais je réalisai que je ne lui avais pas fait de cunni. Même si c’est une pratique facile et instinctive, j’ai passé au moins une heure et demie hier soir dans ma chambre à surfer sur Internet pour regarder des vidéos pornos de lesbiennes et à me documenter. Je suis tombée sur l’une d’elles qui représentait une jeune femme avec une autre d’aspect plus âgé ; ça m’avait immédiatement fait penser à maman et moi. La video m’avait littéralement fait fondre, parce que les filles dégageaient une telle sensualité, une telle douceur, une telle complicité que je n’ai pas pu me retenir de me caresser à nouveau toute seule en les matant. L’idée de ressentir le goût de maman sur ma langue me tiraillait un peu, et je me sentais très curieuse de cette pratique qui ne me serait jamais venue à l’esprit il y a un peu plus de vingt-quatre heures. Je sortais de ma chambre en débardeur et shorty afin de préparer le petit déjeuner pour nous trois quand je vis maman en peignoir dans la cuisine en train de faire ce que j’avais prévu. Je m’approchai d’elle, scrutai un peu partout autour de moi pour voir si papa n’allait pas débarquer, et l’enlaçai tendrement. — Bonjour, maman chérie. — Bonjour, ma puce. Bien dormi ? ...

... murmura-t-elle en m’embrassant tendrement sur la bouche. — Comme un vrai bébé. Et toi ? — Tant mieux. Moi aussi j’ai bien dormi, me dit-elle avec un grand sourire. — Cool ! Dis-moi, qu’as-tu prévu de faire aujourd’hui ? — Alors ce matin... Ah, oui : je vais aider ton père à décorer le sapin parce que, comme tu vois, on est à la bourre. Ensuite, cet après-midi, je dois jouer au tennis contre Bénédicte ; tu sais, la comptable de ma boîte. — Ah oui, la super championne... riai-je en la quittant. — Un jour je la battrais, ne t’en fais pas ! me dit-elle, pleine de confiance. Pourquoi tu me demandes ça ? Et toi, tu vas faire quoi ? — J’aurais un petit service à te demander, si ça ne t’ennuie pas, lui dis-je tout à coup en chuchotant. — Oh, de quoi s’agit-il ? chuchota-t-elle à son tour en souriant, se doutant que j’allais lui demander quelque chose de spécial. — J’aurais voulu qu’on passe à nouveau un peu de temps toutes les deux... dis-je en rougissant. — J’avais prévu ça, ma puce, ne t’en fais pas. — Tu ne devais pas faire un match de... ? — Tu sais, je peux dire que je ne me sens pas bien, et on pourra en profiter pour être un peu entre mère et fille ; ça fait tellement longtemps... J’ai une ou deux idées qui pourraient te plaire. En premier, on va se faire toutes les deux chouchouter chez le coiffeur. Après, manucure, et ensuite on va faire les magasins pour se choisir une jolie tenue pour notre petite fête à trois avec Jeff. Qu’est-ce que tu en dis ? me demanda-t-elle avec un ...