Ma tentation incestueuse (9)
Datte: 10/02/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... petit clin d’œil. — C’est un super plan, maman ! exultai-je en tapant dans mes mains. Mais papa ne va pas avoir de soupçons ? — Ah, parce que tu crois qu’il va soupçonner quelque chose sous pretexte que je passe un peu de temps avec notre fille ? — Non, c’est vrai. Au fait, en parlant de lui, qu’est-ce qu’il fait ? Il n’est pas levé ? — Il doit encore dormir, j’imagine. En ce moment, ce n’est pas de tout repos à son boulot ; alors je le laisse dormir tranquille, vu qu’il a besoin de récupérer. — Hmmm... Tu as raison, approuvai-je avec un sourire en coin. Je m’approchai de maman, l’enlaçai tendrement, et plongeai mes yeux dans les siens. — Dis donc, ma Cécile, c’est quoi ce regard ? me demanda-t-elle en souriant de façon complice. — Ben disons, maman, que j’ai été une petite perverse hier soir, parce que j’ai regardé une vidéo spéciale avec deux filles, et j’aurais voulu mettre en pratique ce j’ai vu. J’aurais besoin de l’avis de ma prof pour savoir si je me débrouille bien. — Hi-hi... gloussa-t-elle. Je ne donne pas ce genre de cours si tôt, en général, Mademoiselle. Mais cela dit, je peux faire une exception pour une petite élève ayant certaines... hmmm, disons... prédispositions, dirons-nous, me chuchota-t-elle de façon complice. — Génial ! Je serais appliquée, promis ! Nous nous embrassâmes tendrement. Nos langues jouaient ensemble, et je commençais à lui caresser les seins par-dessus son peignoir lorsqu’elle arrêta notre baiser et prit mes mains pour m’emmener hors de la ...
... cuisine. — On va dans ma chambre ? — OK, ma puce. J’emmenai mon amante dans la seule pièce de la maison où je savais qu’on ne serait pas dérangées. Nous nous embrassâmes à nouveau très tendrement, je lui ôtai rapidement son peignoir pour malaxer ses seins, essayant d’imiter au mieux ce que j’avais vu dans la séquence de la veille. Je commençais à avoir chaud, et maman n’était pas en reste puisqu’elle me prit dans ses bras et commença à me pétrir les fesses. Sa respiration se fit plus rapide. Je voulais prendre tout mon temps, mais papa pouvait sortir de la chambre à tout moment. — On doit se dépêcher, ma chérie. Il faut préparer le petit déj. — Ça t’excite, maman ? Est-ce que ça t’excite ce qu’on fait à quelques mètres de papa ? — Terriblement, ma chérie. m’informa-t-elle en s’allongeant sur mon lit et en écartant les cuisses sans la moindre pudeur. Je m’agenouillai entre les cuisses de maman et constatai que non seulement elle ne m’avait pas menti : sa chatte ressemblait à une jolie fleur qui s’ouvre, prête à se faire butiner. Elle était d’un rose ravissant, très humide, légèrement odorante, et bien plus belle que celles que j’avais vues sur les vidéos. Maman mit ses pieds sur mes épaules et plaça sa main contre ma nuque afin de m’inviter à la déguster, ce que je ne mis pas longtemps à faire. Ma langue caressa tendrement son petit bourgeon. À ce simple contact, je sentis maman se crisper ; ses fesses ont décollé du lit pendant l’espace d’une seconde. Ma langue claquait sur ...