1. Ma tentation incestueuse (9)


    Datte: 10/02/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... son clito durci, le titillait, l’agaçait ; elle tournait autour du petit générateur de plaisirs. Mes mains lui caressaient le ventre, les seins, mes doigts titillaient ses pointes ; j’avais l’impression de vivre ce que j’avais vu. Je voulais montrer à maman ce que j’avais appris. Ses hanches ondulaient, elle haletait, feulait ; son visage crispé par le plaisir était rouge pivoine. J’étais certaine qu’elle se retenait de gémir afin de ne pas alerter papa. Je ne savais pas si ça avait un quelconque rapport ou si c’était l’effet de mes caresses, mais je sentais son jus me couler sur le menton. Jus que je me mis à laper à grands coups de langue. Je buvais maman... Son miel avait un goût très doux. J’aspirais son petit bourgeon ; maman se raidissait, se crispait, tordait la couette. Je me sentais heureuse du plaisir que je lui donnais. — Oh, mon bébé, ne t’arrête pas... murmura-t-elle les yeux mi-clos en maintenant ma tête plaquée contre sa chatte huileuse que je dégustai de plus belle. Je me sentais excitée, heureuse et fière de moi. Je crevais de chaud. Moi aussi je dégoulinais de jus et j’éprouvais les pires difficultés à m’interdire de me caresser. Je continuai à manger son fruit bien juteux pendant un délicieux jusqu’à ce qu’elle serre fortement la couette et la morde à pleines dents lorsque que l’orgasme la secoua violemment. Je buvais son délicieux nectar alors qu’elle était encore un peu tremblante, en sueur, les yeux dans le vide et toute essoufflée. Je posai doucement ...
    ... ses pieds à terre et remontai pour l’embrasser tendrement. Elle m’enlaça, rayonnante de bonheur ; il n’y a pas de mots pour décrire à quel point je la trouvais sublime. Nous restâmes ainsi quelques secondes à nous embrasser ; je voulais qu’elle reprenne un peu son souffle. — Ça t’a plu, maman ? l’interrogeai-je avec le sourire en lui caressant la joue. — T’as été merveilleuse, ma chérie. Je suis sûre que tu as fait ce genre de chose toute ta vie, mais que tu n’as jamais osé me l’avouer. — Non, maman. Je suis navrée de te l’apprendre, mais je viens de faire mon tout premier cunni avec toi. Tu as été ma petite cobaye. — Wouahou ! Quelle première fois extraordinaire... Maintenant, tu vas voir que moi aussi je sais très bien me débrouiller. — Alors je suis impatiente de voir ça... Nous n’avons pas eu le temps de remuer un cil qu’on entendit la porte de la chambre de mes parents s’ouvrir. — Merde ! lâcha-t-elle machinalement. jpxjwwuh Ma mère bondit sur ses pieds, remit son peignoir et s’assura que rien ne clochait. Moi, je frappais mon lit à coups de poings en lançant une série de jurons aussi vulgaires que silencieux, frustrée que papa sorte de sa chambre à ce moment précis. Mais après tout, j’avais réussi ce que je voulais faire. — Surtout, si on nous interroge, tu voulais absolument me parler de ton petit copain, car il semble que tu en aies un, en réalité. Mais comme tu ne savais pas trop quoi dire... Euh, non, ça n’ira pas. T’avais un doute sur un numéro... Non, ça ne va pas ...