En mal d'amour
Datte: 12/02/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
amour,
Oral
pénétratio,
fdanus,
... vibrer lorsque Franck commença à lui embrasser le cou, puis la nuque. Ses baisers, humides, glissaient sur sa peau tandis que, de ses mains, Franck lui tenait tendrement la tête. Ses mains, douces, descendaient sur ses épaules, ses gestes étaient tendres. Les soupirs et bruits de succion répondaient au silence. La chaleur envahissait les corps, surtout celui de Marie qui brûlait de mille feux sous les coups de langue de son amant d’un jour. Prises de vertiges, elle dut rapidement s’asseoir. Franck entendait poursuivre les préliminaires. À genoux à ses pieds, contre le canapé où elle avait trouvé refuge, il lui ôta sa veste et se mit à lui déboutonner son chemisier. De beaux seins, ronds, s’offraient désormais à sa bouche. Il les couvrit de baisers, jouant de sa langue avec les mamelons. Puis il embrassa à nouveau fougueusement la quadragénaire, pendant que ses mains malaxaient sa poitrine. Puis Franck se remit debout, invitant sa partenaire à en faire autant. Il lui déboutonna le pantalon qu’il fit glisser le long des hanches. Le regard des deux amants se croisa. Un regard empli de tendresse, de compassion, de certitudes. La pudeur n’avait plus sa place. Elle était désormais nue face à lui, le slip blanc en coton ayant suivi le mouvement du pantalon. Rien, désormais, n’empêcherait Marie de s’offrir à lui, elle désirait jouir, elle désirait vivre. Puis il se colla contre son dos, embrassant longuement sa nuque, son échine, ses reins, caressant sa colonne vertébrale. Elle ne ...
... savait que faire de ses mains. Elle désirait le dévêtir à son tour, ce qu’il empressa de refuser. — Attends, mon tour viendra. Je veux d’abord m’occuper de toi, lui chuchota-t-il. Franck se remit à genoux avant de lui embrasser ses fesses en aspirant, en mordillant sa chair. Ecartant les pans de ses mains il poursuivit ses mouvements de langue qu’il faisait désormais glisser dans la raie. Visiblement Marie prenait plaisir à ces caresses. Elle prit soin de se pencher en avant, les mains posées sur l’accoudoir du canapé pour mieux offrir son arrière-train à Franck. Celui-ci ne se fit pas prier. Sa langue fouillait désormais l’anus, Marie prenant visiblement goût à la séance au regard des petits cris qu’elle émettait. Son cul était désormais trempé. Sa rondelle, elle, particulièrement humidifiée laissait pénétrer une langue musclée sur quelques centimètres. Qu’elle aimait ça ! Puis Franck la fit à nouveau s’asseoir sur rebord du divan, les jambes bien écartées de manière à ce qu’elle offre sa chatte. Marie mouillait abondamment, les poils bruns recouvrant sa fente étant trempés. Il n’eut pas de mal à y glisser sa langue dans de longs mouvements d’avant en arrière. Il lapait non plus le whisky, mais le jus de Marie. Puis il se mit à enfoncer sa langue dans le conduit, le plus profondément qu’il put. Son visage était trempé de mouille, son nez en particulier. Elle haletait sous les coups de langue. Elle en redemandait. Franck était heureux. Il semblait apte à donner du bonheur à une ...