En mal d'amour
Datte: 12/02/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
amour,
Oral
pénétratio,
fdanus,
... préliminaires, et la bite encastrée au fond de son vagin avaient eu raison de lui. Il éjacula. Sans qu’elle n’atteigne la jouissance. Elle était toujours aussi déchaînée. Elle aussi voulait vibrer. — Salop, tu m’as baisée, t’es qu’un gros salop. Fais-moi jouir, tu entends, fais-moi jouir. Si t’es pas capable de me faire jouir avec ta bite, sers-toi de ta langue. Marie se redressa sur le corps de son amant, et se plaça à califourchon sur le visage de son amant. « Vas-y suce, suce, fais-moi jouir ! » Franck, le sexe désormais ramolli, n’avait jamais connu cette situation. Il venait de lâcher son foutre et se voyait intimer l’ordre de faire jouir sa compagne avec la langue. Il n’avait pas le choix, d’autant que la position dans laquelle il se trouvait l’empêchait de faire tout mouvement. Seule sa langue pouvait bouger, ce qui lui était réclamé d’ailleurs. Il se mit alors à l’œuvre histoire de se faire pardonner. Il lécha du mieux qu’il put les parois vaginales de Marie, tandis que le foutre encore chaud coulait sur son visage. Le goût de son sperme n’était pas désagréable d’ailleurs, chose à laquelle il goûtait pour la première fois. Il ouvrit alors grand la bouche de manière à en avaler un maximum. Il en avait partout ...
... sur le visage, plus que sur la chatte de partenaire qui, elle, avait droit à un toilettage intime. Les coups de langue ne suffisant pas, Franck, après une contorsion, dégagea l’un de ses bras pour lui glisser un doigt puis deux dans le vagin. Elle en exprima un râle de plaisir. Son majeur fureta ensuite dans l’anus de Marie qui n’exprima aucun mouvement de recul lors de cette intrusion inopinée. Dégagé de l’emprise, Franck se servit alors de ses deux mains, alternant les pénétrations dans les deux conduits. Quelques assauts de ce type eurent raison de Marie, sa jouissance se répercutant de longues secondes sur le majeur et l’annulaire de Franck enfoncés dans son sphincter. Les deux amoureux restèrent allongés sur le canapé de longues minutes. Cela faisait à peine deux heures qu’ils s’étaient rencontrés et pourtant ils avaient l’impression de se connaître depuis toujours. Franck était heureux. Il avait donné du plaisir à une femme, qui, sous ses airs de bourgeoise, lui avait fait découvrir des jeux interdits. Marie était béate, elle vivait l’instant, elle ne pensait plus à rien, elle semblait soulagée. Son nouvel amant avait fait des efforts, elle lui en était reconnaissante. Désormais ils se contacteraient par téléphone.