Sous la coupe d'une dominatrice pudique
Datte: 12/02/2021,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
gros(ses),
grosseins,
poilu(e)s,
hsoumis,
fdomine,
odeurs,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
uro,
délire,
... et de montrer qu’elle pouvait exiger de moi d’être un homme propre et pas le contraire. En règle générale je sentais son corps contre le mien, je pouvais parfois toucher ses seins, lécher ses tétons lorsqu’elle le désirait, mais je ne pouvais pas la voir nue. En quinze ans, je ne l’ai d’ailleurs jamais vue nue, hors du lit ou dans sa salle de bains. Mais lorsqu’elle s’agitait sur moi en perdant toute retenue et qu’elle n’avait pas bien fermé les rideaux de la chambre, lorsque l’été surtout elle avait fini par enlever sa chemise de nuit, je pouvais parfois admirer son corps sans qu’elle le sache vraiment, et en tout cas sans le montrer. Elle avait de très gros seins, assez mous et qui pendaient donc sur son ventre, avec des aréoles et des tétons très foncés ; sa chatte était si poilue que ça lui remontait haut sur le ventre ; on devinait de très grosses lèvres saillant fortement au milieu d’une motte elle-même très proéminente. C’était tout ce que j’aimais, mais n’ayant le droit de parler je gardais cela pour moi… Elle me baisait quand elle en avait envie et le temps qu’elle souhaitait, je n’avais rien à dire. Elle finissait toujours par se glisser de côté, toujours sans rien dire, et ne se lavait jamais après l’acte. Lorsqu’elle n’était pas trop fatiguée, elle revenait parfois sur mon visage, cuisses ...
... largement écartées et m’imposait de la nettoyer de « mes saloperies », m’avait-t-elle dit un jour. En général elle ne disait rien, mais restait comme cela tant que je n’avais pas aspiré goulûment et avalé tout ce qui coulait de ses lèvres. Parfois elle en rajoutait un peu, question de m’humilier lorsque je n’avais pas obéi suffisamment vite ou bien dans la journée. Avant ou après l’acte, elle allait sur le WC qui était contigu à sa chambre, pissait et me disait de venir, sans plus. J’avais compris, et lorsqu’elle se relevait sans s’essuyer avec un papier, dans la pénombre, il fallait que la nettoie. Parfois elle y ajoutait quelques dernières gouttes qu’elle avait réussi à retenir, pour faire bonne mesure et me remettre à ma place. C’est alors qu’elle me disait « dors, je suis fatiguée », ce qui ne l’empêchait pas de recommencer à me caresser, parfois à me sucer, mais il fallait que je dorme et donc je ne bougeais pas. Dans ces cas-là c’est qu’elle n’était vraiment satisfaite et elle regrimpait souvent sur moi dans la nuit, toujours sans rien dire. Aujourd’hui, quinze ans plus tard, malgré son âge, malgré les presque vingt ans qui nous séparent, je suis toujours aussi excité par elle, par tous les rêves lubriques que j’attache à notre relation, par le fait aussi qu’elle soit pour moi toujours aussi dominante.