Le bal costumé
Datte: 13/02/2021,
Catégories:
hh,
danser,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
hféminisé,
Transexuels
intermast,
inithh,
... sûr, on retrouve tout le charme de notre DRH en vous ! Le compliment, sincère, produit l’effet recherché, son regard s’évade un faible instant, avec une émotion si fragile que par retour elle me touche comme une gourmandise. — À mon tour de poser des questions… Vous avez une réelle assurance dans cette tenue et ne semblez pas dérangé par le port de ce superbe tailleur ?— Vous trouvez ? dis-je, surpris par cette interrogation.— On devine au premier regard que ce n’est pas une expérience nouvelle pour vous.— Et comment cela est-il perceptible ? Très intéressé par sa réponse. — Par la faculté que vous avez à vous déplacer sur des talons aiguilles. On imagine une assez longue habitude.— Hum ! Vous êtes un excellent observateur. Décidément je le trouve de plus en plus agréable. Nous dialoguons encore un long moment comme pour nous deviner un peu plus par chaque question ou réponse. Vers trois heures du matin je décide quand même de rompre le charme naissant entre nous, car les autres s’éparpillent gaiement au dehors et nous allons nous retrouver en tête-à-tête. C’est à cet instant qu’il me révèle ne pas avoir de véhicule pour rentrer chez lui… Peut-être une aubaine ? J’hésite encore à y croire. Voilà comment un quart d’heure plus tard nous nous retrouvons assis dans ma voiture à rouler vers Louveciennes. Depuis un petit moment il est silencieux, son regard captivé encore une fois par mes jambes, ce qui a électrisé mes reins tout à l’heure, pendant que je montais dans ma Clio, ...
... alors qu’il était déjà installé. Toujours un instant très délicat pour une femme. J’estime m’en être bien sorti, malgré la remontée du tissu haut sur mes cuisses, ses yeux ont rendu un bel hommage à l’exposition d’une partie de mes charmes. Les conventions, sans doute, et l’étiquette du jeune homme m’empêchent d’aller plus loin. Je ne vais pas risquer ma confortable situation professionnelle sur une inconscience tout de même ? Et tout à coup il reprend la parole : — Je me pose une question lancinante et fondamentale en même temps, dit-il avec un sourire avisé. Collant ou bas ?— Eh bien, dis-je, étonné par la pertinence et la soudaineté de l’interrogation. Puis après un court moment de réflexion je rajoute : — Quelqu’un a énoncé un jour ceci :la curiosité est un vilain défaut… Mais… je pense que sans cette curiosité qui a fait avancer la science par à-coups et souvent à tâtons, nous ne serions pas par exemple dans cette voiture, et quand je dis « à tâtons » je soupèse bien mes mots… Je me demande aussitôt si je n’ai pas été un peu trop explicite, mais les circonstances inclinent plutôt du côté d’un encouragement, et de toute façon il est trop tard pour revenir sur mes propos. Je glisse un regard vers lui, son sourire s’est un peu crispé, mais se détend quand nos yeux se croisent. — Alors jouons le scientifique ! Et à choisir, pourquoi ne pas imiter Braille ? Et, joignant le geste à la parole, sa main gauche se pose sur le nylon qui enveloppe mes jambes tandis que ses doigts ...