Le bal costumé
Datte: 13/02/2021,
Catégories:
hh,
danser,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
hféminisé,
Transexuels
intermast,
inithh,
... s’insinuent sous le tissu de la jupe. Une délicieuse émotion parcourt mes reins, alors qu’il accède à la lisière de mes bas, juste où la peau révèle sa douceur. Néanmoins, la condition de conducteur n’autorisant pas un passage assez large, sa progression s’interrompt sur les attaches du porte-jarretelles. Il me fait signe de tourner à gauche dans la prochaine rue, nous sommes sur les collines de Louveciennes, puis nous entrons dans la propriété de ses parents. — Vous venez prendre un dernier verre ? Comment pourrais-je refuser ? La propriété est splendide, évidemment : une grande maison en U, située dans un vaste parc, laisse transparaître un train de vie prospère. Je le suis, mes talons claquent sur les marches de l’imposant escalier. J’adore ce bruit. Profondément assis dans le fauteuil du vaste salon, je sirote le digestif qu’il m’a servi. Lui, dans le canapé, me détaille, m’examine. J’aime assez la scène qu’il a sous les yeux. Sa position doit lui permettre de confirmer ce que ses doigts tout à l’heure lui ont révélé. Ma jupe effrontément trop courte, laisse à son regard l’opportunité d’apprécier mes longues jambes et sans équivoque la peau au-dessus des bandes jarretelles de mes bas. Je n’ai rien tenté pour dissimuler cette parcelle de mon anatomie si attrayante et féminine… Un ravissant trouble m’envahit à m’abandonner ainsi à ses appétits de voyeur libertin. Pour interrompre cet envoûtement je lui indique que je ne connais même pas son prénom. — Arnaud, dit-il. ...
... Debersac Arnaud.— Oui, évidemment je connaissais votre nom.— Et vous ?— Camille.— Vraiment ?— Pourquoi inventerais-je ?— Masculin ou féminin… Je commence à deviner le pourquoi de certaines choses. Et disant cela il se lève, se glisse derrière mon fauteuil, ses mains se posent sur mes épaules et descendent lentement sur le devant de la veste du tailleur, dénichent l’ouverture qui donne accès à mon encolure. Je me laisse émouvoir par une douce chaleur parcourant ma chair de haut en bas, je savoure dès lors le plaisir que j’imagine à venir. Alors qu’une de ses mains déboutonne la veste, les pans s’entrouvrent sur la dentelle d’une guêpière directement proposée à ses investigations. Ses doigts frôlent le tissu, puis deviennent plus fureteurs, plus curieux. Je pose la tête sur le dossier, déjà en phase de quête du plaisir. Je découvre ainsi le regard d’Arnaud, très enfiévré. Il se penche et, tout en rapprochant nos deux visages, me déclare : — C’est la première fois pour moi. Et comme pour forcer le destin, dans le souffle du dernier mot ses lèvres trouvent les miennes pour un premier baiser. Je savoure la situation inattendue, mais si stimulante, qui me permet de débaucher le fils de ma DRH. Nos épidermes jouent de leur sensibilité pour charmer l’autre, j’entrouvre la bouche pour permettre à ma langue de connaître le délice du velouté de ses lèvres. Déjà ses mains, sous le nylon, cherchent mes seins qui malheureusement se limitent à de simples tétons, cependant si sensibles et réceptifs ...